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samedi, 22 juillet 2006

La climatisation : aventi, popolo !

La majorité des voitures neuves sont aujourd'hui vendues avec la climatisation. En 2004, 50% des voitures particulières françaises étaient dotées d'un système climatiseur pour permettre au chauffeur un meilleur confort dans les embouteillages, où il ne circule pas, mais cuit dans son automobile.

La surconsommation moyenne de carburant liée à la climatisation est de environ 1L/heure. Etant donné que la consommation horaire d'une automobile est plus importante sur route qu'en ville, la surconsommation liée à la climatisation est plus sensible à faible vitesse (+25-35% en ville, et +15-20% sur route et autoroute).

Les progrès technologiques récents (régulation automatique, compresseur à cylindrée variable et pilotage externe) ont permis de réduire la surconsommation de carburant au cours de son utilisation. Ces gains sont toutefois compensés par un usage plus fréquent (la climatisation étant désormais automatique et mise en marche automatiquement) (source: ADEME).

Le problème de la climatisation de voiture ne vient pas seulement de l'augmentation de la consommation de carburant, mais aussi des fuites du fluide frigorigène qui est un gaz à effet de serre. On perd en moyenne 10% de fluide par an. Et il y a plus de chances d'avoir des fuites (et des pannes) si on n'utilise pas la climatisation car le circuit et les joints d'étanchéité vieillissent prématurément. En effet le réfrigérant contient un lubrifiant qui empêche les joints de se dessécher. Si on utilise la climatisation exceptionnellement après une longue durée, le risque de casse sera important. Les constructeurs recommandent de l'utiliser une fois par semaine, même en hiver.

Les premières climatisations utilisaient comme fluide du R12 qui contribuait à la destruction de la couche d'ozone. Aujourd'hui le fluide utilisé est du R134A qui préserve la couche d'ozone mais est un gaz à effet de serre. 1 gramme de ce fluide rejeté dans l'atmosphère a le même impact sur l'effet de serre que 1300 grammes de CO2. Il sera interdit en Europe en 2008, d'ici là profitez-en les amis, on aura le temps de chauffer un peu plus l'atmosphère !

vendredi, 21 juillet 2006

Justice de petits dieux

Ces adulateurs des dieux concèdent que les dieux peuvent faire justice soi-même, tandis que, hélas ! humain, lui, doit fait appel à la justice. Le Zidane n'avait pas le droit de faire justice lui-même : personne ne l'a fait remarquer et c'est en cela que son geste est nuisible : tous les petits dieux (on disait avant des petits chefs) ont un exemple, maintenant, dans leur humain du stade adulé par tant de journalistes ! bouhhhh ! pour faire justice soi-même.

jeudi, 29 juin 2006

Avec la musique, bientôt des regards

Je réfléchissais sur cette musique continuelle, cette logorrhée de sons et de paroles à laquelle nous avons ''droit'' dans les rues, les gares, les super-marchés, etc., et je me disais que, finalement, cette ''musique'', par son contenant et sa forme, est un moyen accepté, consenti des gens de recevoir la propagande de notre temps : les paroles ne disent rien de vraiment fondamental ou d'intéressant, la musique est sensiblement différente sans plus seuls les arrangements varient, de sorte qu'on utilise quelque fois une musique de 20 ans plus vieille pour varier lorsqu'on sent qu'on lasse le public.
Mais je ne réussissais pas à formuler cette idée, à lui donner une consistance suffisante pour pouvoir être admise par qui me lira.
Et ce matin j'ai trouvé cet article sur Yahoo : dans un système de participation libre des gens (sollicitation à pratiquer l'autogestion) on remarque que le fait de se sentir observé fait entrer dans le moule social. Et plus loin, on se demande si cette constatation ne pouvait pas être utilisée avec les ''délinquants'' : ceux-ci, observés, le seraient alors moins, ou verraient ralentie leur ardeur à l'être.
La méthode individuelle de révolte adoptée par la personne (plus ou moins adéquatement, j'en conviens) dans le vol, ou la sensation qu'elle éprouve alors qu'elle n'obéit pas à la morale dominante, est fortement mise à mal en la confrontant directement à une image de ce contre quoi elle désire se révolter : le regard grondeur, désapprobateur, etc. de ses tuteurs alors qu'elle ne demandait qu'à vivre, à être aimée et orientée dans la vie sociale : justice, compréhension, égalité, liberté, participation.
(Je parle de la musique que je nomme ''morte'' en comparaison de cette musique vivante, que l'on voit devant ses yeux et entend de ses oreilles qui suivent les mouvements du musicien, et non pas qui les imite parce qu'absent. J'adore les ''bals'', mais il n'y en a plus : la propagande les a détruit).
La musique (chansons, airs, etc.) est là, finalement, pour corroborer tant par son contenu que par sa forme, l'état d'esprit du moment et d'en conserver le statu quo : même si certaines chansons paraissent contenir un aspect ''révolutionaire'', elles n'ont changé les esprits que dans leur instantanéité et confrontent à la fois aux autres en se sentant bien seul d'en ressentir une certaine profondeur. Trois mois plus tard, tout est entré dans l'ordre, il n'en reste qu'un souvenir noyé, comme auparavant, dans la somme de toute une quantité de bavasseries musicales de laquelle il a fallu la trouver et l'extraire. On est alors joyeux d'entendre sa musique présentée à tous et pour soi. Le système marchand a proposé des stocks ambulants de cette musique qu'on préfère et en présente l'usage comme d'une liberté acquise : ce n'est qu'un moyen supplémentaire de séparation et des autres et du monde où on se retrouve seul dans un monde peuplé d'autres solitudes déambulantes.
Le regard des caméras palie à l'insuffisance de cette ''musique'' de faire disparaître toute velléité d'indépendance en rappelant sans cesse et impitoyablement que vous être en faute : on ne sait trop de quoi, mais on l'est ; effectivement on l'est ! de détester cette forme sociale de domination des esprits et de leur liberté d'être ! ... pour le moins.
Et ce bruit ne vous en laisse pas même l'hypothèse d'une formulation.

mercredi, 21 juin 2006

Le procédé des OGM est intéressant (il ressemble à celui des éoliennes)

On supprime peu à peu TOUTES les plantes locales et robustes par un procédé commercial : tout-aliment, tourteaux d’export, etc. avec un prétexte de facilité du travail et de valeur nutritionnelle supérieures, et par le MÉSUSAGE des plantes vernaculaires cela crée un manque et on propose ensuite un produit meilleur que ce qui n’existe PLUS. Je prends l’exemple de la féverole : qui connaît la féverole aujourd’hui, ou le pois protéagineux (25% de protéines) ? Elle a seulement disparue parce que remplacée par le tourteau de soja. Or la féverole a des qualités nutritionnelles reconnues aussi valables que celles du soja. Mais les tourteaux, plus concentré en protéines du fait qu’ils sont le résultat d’une presse d’huile, ont jeté cette féverole aux oubliettes. Et on propose aujourd’hui un soja OGM qui « présenterait » les qualités nutritionnelles de la féverole. Or cette féverole est tout simplement le soja LOCAL (c’est aussi une légumineuse), qui a la possibilité de pouvoir être ressemée sans aucun problème (on en détient une poignée et en trois semis on en a suffisamment pour trente hectares) : les semenciers n’y ont rien à gagner.
J’ai trouvé sur le Net une histoire sur le colza sans acide érucique où l'INRA a créé ce colza, un semencier a acheté le brevet pour en interdire la commercialisation et paye ensuite une partie des recherches de l'INRA (le reste c'est nos impôts) pour trouver un hybride F1 dont il serait le seul détenteur COMMERCIAL.
Les éoliennes : il y a 40 ans (dans les années 70) plusieurs industriels proposaient des éoliennes valables, fonctionnelles, sans opposition de la population (tient ? pas d’opposition de la population à cette époque pour les éoliennes ?). Mais EDF à l’époque achetait leur électricité à un prix si bas qu’elles NE pouvaient PAS être rentables. Finalement, elles firent faillite et EDF, par des dessous de table et des sociétés-écran, racheta, à vil prix ces entreprises pour leur clore la bouche. Et puis, maintenant, elles ressortent des pales toutes neuves, avec la joie pour Areva (première entreprise du nucléaire que ces éoliennes mettaient en cause à l’époque sous un autre nom : Framatome) de dire : « vous voyez ! On est écologique ! On préserve la nature ! »
Et ces semenciers, maintenant de demander et d'OBTENIR du gouvernement de faire une loi des « graines autorisées à la vente » de sorte à sortir du marché toutes les graines qui sont le produit d’amélioration au cours des siècles derniers, graines LOCALES, et non brevetées, libres de droits.
Car je n’aurais pas grand-chose à dire sur les OGM s’ils étaient sous licence GNU GPL ou GFDL ! Or ils sont TOUS sous brevets payant : là est le doute et une quantité de dispositions sont prises de sorte qu’on ne puisse pas se dispenser d’eux : là est encore le doute : à qui cela profite-t-il ? Pas à moi, puisque je DOIS les acheter à ces semenciers, pas au cultivateur, qui DOIT faire de même et se voit dans l’impossibilité de faire autrement (ce fameux « Cahier des semences autorisées à la vente »), pas au consommateur qui est au bout de la chaîne le payeur, mais bien aux seuls semenciers qui ont inventé ce truc. J’aimerais donc que ceux qui sont pour les OGM, soient aussi pour qu’ils passent en licence GPL, puisqu’ils y sont tant favorables.
De même, les essais autour des OGM (en labo, in vivo et de toxicité, surtout) devaient être OUVERTS à la connaissance de tous : or il n’en est RIEN : là encore un doute. Et ceux auxquels on a procédé l’on été par les promoteurs des OGM, et ceux qui ont trouvé quelque chose à en dire sont discriminés, abâtardit, etc. Là encore un doute.
Je comprends que l’on veuille une amélioration du sort humain, j’y suis moi-même tout à fait favorable et agis dans ce sens. Mais est-ce être pour l’amélioration du sort humain que de restreindre sa liberté de choix, de détruire (par pensé, action et omission) ce qu’il a précédemment créé pour IMPOSER autre chose qui est douteux.
C’est le procédé des OGM qui est trouble : c’est un ensemble : social, commercial, individuel.
En conséquence dire « qu’un article est trop CONTRE les OGM » fait dire qu’il n’est pas assez pour : ce qui est douteux. Cela voudrait dire aussi que ceux qui sont contre le sont trop ! et leurs arguments fallacieux. Il ne fait pourtant aucun doute, là, qu’ils sont dans le vrai : et, effectivement, ce seraient plutôt à ceux qui sont « pour » de démontrer l’opportunité des OGM.
Comment démontrer l’opportunité des OGM où il faut TANT de moyens pour les produire, alors que la vie est la reproduction même des choses ? et que les améliorations apportées jusqu’avant les OGM aux produits agricoles humainement modifiés restent dans le cadre de la reproduction facile des choses (encore que les hybrides F1 sont juste à la limite du processus et que certaines observations montent qu’il y a là encore manipulations des brevets : des OBM en quelque sorte).
Dans ce genre de chose, si on veut apporter de notables améliorations au sort humain, il faut VRAIMENT dissocier le facteur de l’amélioration de ce sort du facteur COMMERCIAL : sans ce commerce, qu’en est-il de l’amélioration de ce sort ? Si les firmes qui les produisent, tout à coup, « disparaissent », est-ce que cela participerait toujours à l’amélioration de ce sort ?

lundi, 19 juin 2006

Répression sexuelle et religieuse

Je vois les revendications particulières, telle que celles de l'homosexualité masculine ou féminine, que cet extrême dans le désir de reconnaissance du religieux, etc. comme des atteintes au patriarcat et qui participent au délitement de sa morale par la recherche de liberté qu'elles contiennent ; et je vois leurs exigences comme autant de dénonciations à la fois, certes, des souffrances que ce patriarcat leur a fait subir, mais aussi comme le fait de ne plus admettre qu'elles sont le fruit de ce patriarcat, qu'elles n'auraient pas lieu d'être dans un autre contexte d'encloisonnement de la liberté.
Les homosexuels ont forgé un nouveau mot « hétérosexisme » qui signifie non seulement que je pourrais être contre l'homosexualité mais de plus que je serais en faute de ne pas être pour elle et me met dans la position du délit par rapport à elle. Il en est de même pour le judaïsme avec ce Dreyfus qu'on veut mener au Panthéon (vite, vite, vite, car j'ai déjà les keufs aux fesses d'écrire cela : j'en ai rien à faire du Panthéon - aïe aïe aïe - de l'homosexualité - aïe aïe aïe - et de la condition du pratiquant d'une religion sinon que lorsque celle-ci attente pysiquement à l'intégrité corporelle de l'enfant, de même que l'Islam, par la circoncision, sinon que chacun fait ce qu'il veut de sa vie, arrêtez de frapper ! aïe aïe aïe ! zut, arrêtez ! j'en ai rien à faire de ces bétises !) : je serais anti-sémite de ne pas approuver ce genre de chose alors que je trouve cela douteux par l'intérêt qu'on veut y faire porter.
Aurais-je encore un jour la possibilité d'avoir une opinion autonome ? Faudra-t-on me condamner parce que je suis indifférent à l'homosexualité, à la relogiosité, parce que je revendique, moi, qu'on a pas le droit de me forcer à y porter mon attention ?
D'après ces gens, d'écrire ce que j'écris en ce moment est déjà délictuel : savent-ils qu'ils créent un monde pire que celui qui leur a spolié leur liberté d'être ?
Etablir un jugement et une condamnation basée sur une affection particulière est aussi présente là qu'ici dans la répression qu'ils subissent et dans celle qu'ils veulent faire subir pour se défendre mieux.

vendredi, 16 juin 2006

Organismes Génétiquement Mutantis te salutant

Les processus naturelles de viabilité des organismes abhérants ne leur permet de se reproduire que dans la mesure où ces abhérations sont des adaptations, c'est à dire qu'elles favorisent l'organisme (au sens générique de l'espèce) à une meilleure vie dans son environnement mouvant. Les OGM, en tant qu'abhérations dans le monde du vivant (c'est à dire, en théorie, des variances que produirait la nature pour une meileure adaptation) non pas seulement parce qu'ils sont des créations humaines, mais essentiellement parce qu'ils continuent de participer au monde, sont dépourvus de ce pouvoir d'adaptation.
Les abhérations dans la nature peuvent parfois se reproduire sur une deuxième génération pour mieux s'essayer, mais les OGM d'une part sont très peu capable de reproduction à l'échelle d'une seule génération et d'autres, à un autre extrême, s'ils s'y adaptent, c'est pour devenir UNIQUES, c'est à dire sans relation dialectique avec le monde (c'est précisément ici le but avoué des OGM) : ces organismes peuvent prendre une prépondérance grave dans l'environnement de la nature, qui n'est qu'adaptatif ; or les OGM n'ont pas d'ennemis naturels.
Mais d'autres organismes (dont ceux qui les ingèrent) ont besoin pour se reproduire, en tant que phénomène d'adaptation, d'abhérations, mais ces abhérations ne sont valables que dans certain cadre : celui EXACT de l'organisme lui-même. Les OGM, produisant une adaptation sélective, unilatérale et massive, vont forcer d'autres organisme à une mutation qui sera EN DEHORS de la sélection naturelle comme phénomène d'adaptation, et ce sur plusieurs générations.
Si nos ancètres sont arrivés à créér de superbes plantes par le TEMPS, ils y sont arrivés par le dialogue, la dialectique du vivant : dans l'évolution de leurs créations ces créations continuaient de vivre dans le monde, de respirer, de manger, ect. Le monde s'adaptait donc, avec le temps, aussi bien à cette création. Avec les OGM le TEMPS n'existe plus (tout comme dans la philosophie qui sous-tend ce projet) et, de fait, si nous laissions ces plans sans soins dans la nature, ils ne se reproduiraient pas en tant qu'abhération adaptative ou ne s'y adapteraient PAS, c'est à dire qu'ils pululeraient comme des fous (voir la renouée du Japon, introduite en 1935 sur les rives de l'Allier et qui maintenant pulule sur toutes les rives de France).
Mais, le forçage du temps par les Organismes Générateurs de Mutations fait que dans l'adaptation mutuelle des créations humaines et de la nature, plus rien n'est possible.
Par ailleurs, sous le seul prétexte d'une disponibilité technique plus grande, cela signifirait que, jusqu'à l'invention de ces trucs, le travail des paysans est nul et non avenu, alors qu'on sait, si on s'y intéresse, que c'est le mode d'organisation présent de l'économie qui fait un grave mésusage de ce qu'ils ont créé (les blés panifiables ou des riz de très haute qualité nutritionnelle, des porcs ou des vaches adaptés à leur environnement immédiat nécessitant peu de soins vétérinaires, des légumes goûteux et généreux et pourtant peu gourmants en engrais mais locaux, etc.).
Le problème n'est pas seulement la qualité du produit, mais aussi l'ampleur de sa pollution par le forçage de sa viabilité (qui n'est plus ici une adaptation) qui embrouille les capacités adaptatives naturelles (les échanges de matériel génétique sur une longue échelle) : cette pollution est justement cette embrouille forcenée du mouvement du vivant : l'adaptation des autres plantes autant que les autres organismes (dont nous, les créateurs de ces trucs infantils).
Je veux montrer que ces organismes sont peu viables, ou trop viables, alors que la sélection naturelle joue avec les phénomènes adaptations : le vivant est joueur, mais jamais à son insu : que je sache, nous faisons parti de ce vivant (encore) autant que ce vivant fait parti de nous (parfois).

mardi, 13 juin 2006

Une de plus, une !

Quand les mots avaient encore un sens on disait : une prison construite égale dix écoles fermées, car le budget de l'une spoliait le budget des autres.
Aujourd'hui, dans ce monde cul par dessus tête (qui en a l'odeur et la triste apparence blême), on doit se résoudre à dire : dix écoles fermées égalent une prison ouverte faute de budget tout court pour l'organisation générale positive de la société.

jeudi, 08 juin 2006

Dur choix de contraintes

De nombreuses jeunes personnes se convertissent principalement à la religion musulmane : grave problème que celui d'orienter sa vie sous des préceptes religieux, car cela signifie que les restrictions morales de la société sont devenues si peu supportables qu'il faille choisir la morale la plus stricte possible pour pouvoir assoir son mode de vie sur celle qui est des plus restrictives, du point de vue de l'étreinte sexuelle et du rapprochement amoureux, pour ne pas se sentir défaillir dans le "stupre et la déchéance" qui sont une vue de l'esprit, bien sûr morale.
En d'autres termes, notre société rend le rapprochement amoureux si peu possible entre les jeunes gens, alors que les moyens techniques les prédisposent à l'usage de cette liberté de la vie, que beaucoup préfèrent se clorent dans des préceptes encore plus durs que de se voir confondus et confrontés aux contradictions de leur époque, de les assumer, ou d'en ressentir la lourde désapprobation sociale.
C'est cette époque, la nôtre, qui doit s'adapter aux jeunes et non pas les jeunes qui ne doivent pas pouvoir s'y adapter.
Mais on sait aussi que de restreindre les plaisirs de la vie est une manière de gouverner, de rendre dépendant du pouvoir des êtres nés libres. Car les gens sont des êtres sociaux : ils aiment se donner aux autres et recevoir de la société, des autres, une reconnaissance sociale : on préfère souvent se conformer au pire qu'au moindre dans une telle situation, hélas ! sinon on passe pour révolutionnaire, dans un sens comme dans un autre pour se voir ici jeté aux gémonies, là en prison.
Car il vaut mieux se protéger de la liberté responsable du rapprochement sexué par une morale de militaire que d'être dans l'impossibilté de ne pas pouvoir s'y exprimer pratiquement en responsable de peur de faillir : paradoxal, non ? Si ; et c'est là que s'engouffre le pouvoir, dont une des formes est le politique, une autre le religieux et une troisième le journalistique.
N'oublions jamais la base de cette société, mes chers frères et chères soeurs : c'est l' obligation au travail au moindre coût, et accaparons-nous de cette base pour en faire celle de notre réflexion : c'est AINSI nous ne pourrons pas nous y tromper et on ne pourrra plus nous y tromper !
La religion, le sport, le journalisme sont la cocaïne du peuple pour qu'il travaille mieux et dans davantage de mutisme (le cher Karl Marx, à qui on reproche seulement d'avoir décrit les mécanismes de la misère, ne l'avait pas entrevu si pire dans l'avilissement des gens) c'est à dire que les gens ne VIVENT le rapprochement amoureux librement qu'en esprit, en image, en icône, en télé, en cinoche ; jamais en VRAI.

mercredi, 07 juin 2006

Autodestruction

Ce sont les gens qui font leur propre existence :
- ce sont les gens qui passent aux feux rouges, ils n'y sont pas obligés ;
- ce sont les gens, incapables d'autogouvernement, qui élisent des malades affectifs pour les gouverner, ils n'y sont pas obligés ;
- ce sont les gens qui entrent dans une rue, avec leur voiture, comme en pays conquis, ils n'y sont pas obligés ;
- ce sont les gens qui salissent la planète, ils n'y sont pas obligés.
Ce sont les gens qui sont responsables de leur propre existence : maladie, famine, guerre, répression de l'enfance, de l'étranger, de la femme, du patron, du cambiste par l'argent : personne n'est OBLIGE de procéder ainsi : c'est un CHOIX que les personnes, personnellement, font de vivre ainsi, même s'il s'agit d'une maladie affective dont ils ne font rien pour s'en sortir.
Ce sont les gens qui prennent l'avion (qui polue pour deux de chacun d'eux), qui choisissent une hygiène d'écouvillon, la mère qui engueule son enfant parce que son patron l'a humiliée, le père qui violente sa femme pour retrouver un peu de pouvoir que sa vie de lavette lui ôte (attention ! si il comprend ''lavette'', pour lui ça veut dire anti-toromatchiste ! c'est à dire qu'il va tenter de prouver le contraire en faisant l'althérophile !), ce sont les gens qui humilient les enfants en bas âge en maternelle par le manque de respect pour leur personne (car l'enfant est une personne qui ne demande que guide jusqu'à son indépendance), ce sont les gens qui strangulent les corps des enfants dans des poussettes et qui ne les entendent pas lorsqu'ils demandent de la liberté par crainte d'un malheur étrange qui serait inhérent au fait de VIVRE. En aucun cas ils y sont obligés.
Ce sont les gens qui sont responsables de leur propre malheur, et ils sont si accoutumés à vivre dans le malheur qu'ils ne savent plus même qu'ils vivent continuement dans ce malheur de vivre.
La vie est à un tel taux de malheur que ce malheur s'auto-entretient. Ou, pour le moins, on voit au point de malheur de la vie qu'il ne peut plus que s'auto-entretenir : rien ne l'y oblige, sinon l'inertie des gens.

samedi, 03 juin 2006

L'écart de l'idéal

Ce qui m'étonne le plus c'est l'attirance des gens pour des futilités qu'elles idolisent. Je viens de couper ma radio, un chanteur mélodiait ceci : il éteint sa cigarette, il repousse le cendrier... : en quoi donc ces paroles de chanson peuvent-elles bien le rendre si populaire ? En quoi ces paroles de chansons peuvent-elles intéresser les gens de sorte que ces gens achètent ces paroles (achat qui donne la popularité de ce chanteur proportionellement) ? Et combien d'autres, provenant de partout sous des formes différentes ? Quand donc les gens s'intéresseront-ils à leur propre sort, cesseront-ils d'idéaliser ce qu'ils désirent et qu'ils reconnaissent déformé dans ces idoles ? Boudu !

vendredi, 02 juin 2006

Heil le sport !

Sarkozy pour le sport, partout et toujours (même au lit, j'en suis persuadé !) : à quand les "Jeunesses Sarkoziennes" ?

mercredi, 24 mai 2006

Affectivité sociale associative

Plusieurs dérangements affectifs ont été compris et isolés du comportement humain, et on a proposé des moyens médicamenteux dans le cadre de la psychiatrie (hélas ! car il s'agit d'affectivité et l'affectif ne se peut guérir que socialement) ou parcimonieusement des aides psychologiques individuelles. Aujourd'hui, il suffit à ces comportements de se grouper, de former un nombre, par association, et de demander une reconnaissance sociale autonome pour se voir trouver une légitimité : mais cette affectivité n'en est pas devenue plus saine, je suis désolé.
Le cas extrême, mais ici cette affectivité malade aura vraiment du mal à se surseoir pour s'associer de sorte à obtenir un succès, serait, par exemple, une association de « batteurs d'enfants ou de femmes dans le cadre familial » ou de « petites chefs merdeux au travail » : du coup, car ils sont nombreux, on passerait des lois qui leur donneraient la possibilité de pratiquer leur déficience affective et même de la perfectionner, de faire des conférences, d'en donner des cours, comme si on n'en était déjà pas en reste.
De fait, chacun est sollicité à revendiquer sa place individuellement par un « il faut que j'm'en sorte : pous' toi d'là », puisque le corps social n'en est plus un mais un assemblage de cellules autonomes qui n'ont plus conscience de leur corps. Et ce seront les plus acerbes qui émergeront d'un tel contexte à côté de plus nombreux associés, en sachant que les êtres sociaux n'existeront plus comme ensemble de personnes mais comme addition d'individualités.
Cette société génère des graves problèmes affectifs, très graves, et comme la seule méthode qu'elle entende est le nombre, puisqu'elle est quantitative (1% de la richesse cumulée des plus riches correspond à 55% de la richesse cumulée des plus pauvres), le nombre suffit à renforcer les graves problèmes affectifs qu'elle génère, au lieu d'en cesser les conditions de production, ce dont elle est incapable. C'est aussi le seul moyen au nombre des brimés de trouver une reconnaissance de leur brimade, mais pas des moyens de s'en défaire.
Je veux dire que l'essor de ces associations sera toujours très loin d'une optique de changement radical à la fois des conditions sociales qui leur ont donné une existence et à la fois les conditions qui cesseront de pourvoir à leur existence puisqu'elles n'existent que par le mode affectif produit et admis par le nombre de cette société quantitative.

mardi, 23 mai 2006

Arrêt de la composition

Après une semaine de galère en mer, la première préoccupation des réfugiés qui arrivent aux Canaries est de savoir qui a gagné la Coupe d'Europe de foot. Les gens, en France, se foutent de l'affaire Clearstream : à quoi ça sert ? comment ça marche ce truc ? c'est quoi l'intérêt ? Un film qui sort sur Berlusconi montre par l'exemple la bêtise volontaire de ce politique : les gens s'en foutent : de toutes façons... les politiques sont des pourris n'est-ce pas, alors faudrait-il qu'il n'en soit pas ainsi ? On n'a plus le droit de se présenter souriant sur une photo d'identité.
Mais c'est l'IMMOBILE de tout cela qui m'interroge : les coups que ces gens se prennent proviennent de partout et ont acquis tant d'omniprésence que ces gens les acceptent, sans broncher, passivement, avec un "Inch Ahla" qui montre une résignation sur leur sort. La vitalité, qui fait la cohésion d'un corps social, a quitté le nôtre, et on s'étonne de sa décomposition.
On a cru longtemps que l'économie était la vitalité d'un corps social : erreur, ce n'est qu'un aspect de la vitalité de la représentation de ce corps social : des corps sociaux ont vécu sans économie aussi prégnante auparavant du nôtre. Et, justement, le fait que cet aspect de la vitalité du corps social se soit autonomisé montre qu'elle a sucé, ôté, retiré, absorbé toute la vitalité, la richesse, la diversité, la vivacité de son corps social. Le monde se décompose car plus rien n'est devenu possible hors de ce piètre aspect de la vitalité : l'économie. Ce qui est devenu sa cohésion exorbitante est le facteur de son délitement, et ce délitement emporte tout, tout le monde : Inch Ahla !
Rien d'étonnant à ce que les gens se renferment sur la famille (passage des lois xénophobes), forment des clans de plus en plus hermétiques (les banlieues), qu'on ne pense qu'à en profiter (taux d'endettement extraordinaire par leur temps de remboursement), qu'on ne trouve plus d'intérêt à la découverte par soi-même des choses (uniformisation des informations), qu'on ne désire plus qu'à penser à autre chose (crescendo des manifestations sportives et des shows où on montre des jeunes femmes dénudées), qu'on veuille tant s'abrutir pour éviter de penser (pouvoir journalistique inondant).

lundi, 22 mai 2006

Virilisation du monde

Les Commores ont élu un président islamiste. Cela veut dire qu'une organisation a fait penser à la population que ce président est de bien meilleure qualité que les autres. Cette organisation a été élue avec ce président.
Cette organisation a certainement utilisé des moyens pratiques pour venir en aide à cette population en détresse premièrement alimentaire, de logis salubre et de liberté quotidienne (flics et justice corrompus). On a déjà vu cela en Algérie (le pourvoi de nourriture du GIA) et en Iran (les actions des émules de Khomeini pour préparer sa revenue au pays).
Ces organisations vont maintenant devenir des milices, dans premier temps morales (port du voile pour les femmes, séparation sévère des sexes, punitions corporellles pour les adolescents et les enfants, etc.), et ensuite armées, car la population ne voudra pas voir ses libertés s'amoindrir.
Ces milices vont devenir de plus plus sévères, l'isolement du pays (une île) va empêcher des éléments modernes d'avoir la moindre influence pour faire comprendre la situation : nous allons encore une fois vers un désastre pour la femme, pour l'enfance : une nouvelle société virile est née.
Elle est née parce que des personnes se sont accaparées du vivant d'une société pour la pourrir et ensuite parce que d'autres facteurs pourrissant ont fait penser à la population qu'ils sont leurs seuls sauveurs en se faisant dans un premier temps passer pour tels ; parce que la population ne pense pas, et principalement au présent de ses intérêts qu'elle ne se sent pas capable de prendre en main elle-même. Elle n'a d'ailleurs plus aucun répère pour se formuler une possibilité dans ce but : il ne lui reste plus qu'à choisir électivement entre deux facteurs pourissant.
Les journalistes parlent de l'équipe de France qui s'oxygène, de la forme du ballon lorsqu'il est rond, des problèmes d'essence pour les travailleurs qui ne peuvent se rendre au boulot pour la payer et s'étonne que les "étrangers" continuent d'investir en France, le pays aux salariés les plus productifs au monde. Comme Louis XIV en 1789 : Rien à dire, à ceci près que la Révolution se passe à l'envers : contre les gens.
Si des investisseurs "étrangers" s'installent en France c'est, bien évidemment, parce que la population française est excellemment docilisée par le Spectacle : ne nous leurrons pas... et on va en demander plus !
De même, ces investisseurs vont être contents aux Commores : y'aura p't-êt' besoin d'une centrale nucléaire, pourquoi pas !

dimanche, 21 mai 2006

L'épine du voile

On dit que les femmes à qui on demanderait d'ôter de force leur voile s'en rebelleraient : a-t-on penser à enlever une épine depuis longtemps fichée dans une partie du corps (le coeur fait partie du corps) sans douleur ? C'est sur cette douleur que l'attention, dans le cas du voile, doit se pencher, pas sur le fait d'enlever le voile : tant que cette douleur sera présente, la personne ne pourra pas l'ôter.
Le voile des femmes est une protection à la fois contre le désir des hommes (vrai ou imaginaire), contre une conception (vraie ou imaginaire) du désir et des femmes et des hommes, et à la fois une protection contre une conception de soi réfléchie par les autres. Le port du voile est donc la dénonciation d'une ambiance sociale dans lequel il lui est possible d'être porté, où on doit (suivant un mode de pensée) le porter, où on se doit de le porter.
Et cette ambiance sociale est l'exacte mesure de l'affectivité sociale des êtres qui composent cette société : la manière dont ils tolèrent les uns aux autres de vivre librement ce qu'ils considèrent de l'ordre de l'intime : la relation amoureuse, qui est devenue un rapport sexué, une mécanique (avec toutes les apparences dont elle est capable : pub, show et le reste) imposée à la femme qui y demeure un objet.
C'est peut-être cet esprit français qui le tolère peu car pour lui la "chose" est encore de l'ordre du naturel, peu comprise ailleurs car aussi peu athé que lui.

vendredi, 19 mai 2006

Virile organisation du monde

Il y a de bien tristes nouvelles de part le monde : au Maroc les femmes sont insidieusement amenées à porter le tchador dont elles avaient oublié l'existence : bientôt nous passerons pour des hérétiques de ce vieux système patriarcal, avec ses souffrances de l'enfance, ses violences sur la sexualité et l'amour, son organisation virile de la société avec ses prêtres, leur clique de flics et de boureaux.
Nous allons bientôt être amenés à une position de défense pour garder ce qui a été conquis contre de vieux idiots bouffis de la bêtise et du pouvoir qu'ils veulent avoir sur les êtres car ils sont incapables sur eux-mêmes de bonté, je veux dire. Nous ne sommes plus des citoyens pour ces gens, nous sommes des âmes et c'est de cela dont ils veulent être les maîtres, les impuissants du caractère libre de la vie : il suffit encore d'inventer du vent pour se faire obéir par ceux qui ont ce vent dans la tête, des bâtons au poing, la médisance et la calomnie à la bouche (et d'autres pour les entendre et les prendre pour argent comptant) et le tranchant des meurtrissures sexuées sur la petite enfance : c'est le dernier moyen de créer des âmes, on l'a bien compris puisque nous avons tués nos vieux dieux.
Mais nous n'avons pas tué le spectacle qui corrobore ces fadaises dont il nous gargarise à la régalade.
Ces gens sont des prisons pour eux-mêmes et ils veulent le monde à l'image de leur souffrance.

lundi, 08 mai 2006

Équerre optique

L'humour s'est muté en agressivité, dans un sens comme dans un autre : dans la rue, maintenant, quoiqu'on dise sera toujours ressenti comme agressif, et non plus comme humour, pour décoincer une situation, quoi. D'ailleurs il y a six mots qui ne figurent plus dans les dictionnaires situés dans les disques durs : bonjour, merci, pardon, au revoir, je vous en prie, permettez ? ; là encore mutation, c'est : pousse toi d'là qu'j'm'y met' ; qu'est-ce tu fais là toi ; casse-toi ; t'es pas content toi ? ; c'est moi l'chef ici ; pousse-toi, t'vois pas qu'tu m'gène ? Au mieux, parfois, on a droit à un silence chargé de tant d'absence qu'on se demande ce qu'on fait à ce moment là à vivre. Il se peut aussi qu'on ricanne à votre politesse. Et lorsqu'on répond à ce qui reste encore d'un reste d'humour qui vous est adressé par un autre mot d'humour, on vous fait passer pour un idiot.
Ne nous leurons pas, nos politiques ne sont finalement que ce qu'en fait le peuple, dans tous les cas, et ce qu'ils nous montrent avec d'autant plus d'ostentation c'est ce qu'on leur laisse faire, c'est à dire ce qui est réellement dans la rue, comme prise de pouvoir par la bêtise.

dimanche, 07 mai 2006

Persévérance dans les ennuis

On a connu, enfin... les oiseaux ont connu, et connaissent encore les pluies acides qui dissolvent le calcium des coquilles d'escargots dont ils se nourrissent, ce qui rend la coquille de leur propres oeufs fragiles, ben maintenant, les pauv'bêtes sauvages (ha ! combien elles perdent de n'être pas aussi civilisées que nous, qui n'avons que le nucléaire et le pétrole !) le décalage du temps dû au réchauffement de la planète les affament. Manière compliquée de traiter les problèmes de l'immigration, tout de même.

jeudi, 04 mai 2006

Sable et sang

Comment ces mots de tous les jours, ainsi agencés, peuvent à ce point toucher l'indicible qui attend, haletant, qu'on le veuille bien mouvoir. Il faut aimer le mot et le son, aimer le son qui va au mot et s'y marie, s'y mélange, ose une tonalité heureuse ou hardie, au plus proche de l'émouvance. La poésie. Des mots qui parlent de la liberté chérie par leur liberté, cette anti-maudite qu'on atteint jamais en l'ignorant.

mardi, 02 mai 2006

Disparition naturelle

Il y a la corrélation de deux évènements dans la disparition d'une civilisation ou d'une organisation sociale ; ce qui a lieu en moins d'un siècle. Il y a *) l'excès dans un usage que cette civilisation fait d'une possibilité offerte par la nature qui se conjugue avec *) une catastrophe naturelle, qui n'a pas obligatoirement de lien avec cet usage excessif, mais dont cet usage ne permet plus de palier.
L'excès de l'usage d'une particularité de la nature est une base de cette société en question, un fondement d'organisation sociale, c'est à dire, dont les relations entre les êtres qui forment cette société ne peuvent se passer dans le cours de leurs relations : c'est l'idée fixe de la société en question.
Bien évidemment, quand une société nait, nait du même temps son mode d'organisation sociale, les relations autour desquelles les êtres fondent leurs relations, qui en est une des caractéristiques principales, fondatrices.
Lorsque meurt une civilisation, rien ne renaît de ses cendres ; l'autre civilisation, si la première n'a pas trop détruit l'environnement naturel autour d'elle, surtout lorsqu'elle est planétaire, se fondera ailleurs ; et c'est dommage lorsqu'il n'y a la possibilité que d'une seule planète : car les rêves de la vieille civilisation, par exemple d'aller vivre sur d'autres planètes, ne fonctionnent pas dans la civilisation qui vient, puisque ce sont des fadaises dont elle veut se débarasser.
Corrélativement, lors de la disparition de cette civilisation, il y a une perte concidérable dans la population, particulièrement dans la partie qui s'y est adaptée avec le plus de passion.
Karl Marx disait que l'humain est le seul animal qui fait l'Histoire... quand il en est conscient, et il s'agit toujours de la sienne propre, puisqu'il emporte le monde dans son Histoire. La nature n'a pas besoin de savoir écrire pour vivre.