Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

dimanche, 05 mars 2006

Bio-intimité

Dans la biométrie, et les papiers d’identification afférents, il s’agit de vérifier si une personne correspond à l’autenticité d’un fichier, lequel fichier contient un savoir dans lequel il est stipulé, si oui ou non, vous êtes conforme à ce qu’on attend de vous : si vous n’êtes pas un délinquant, si vous êtes autorisé à faire ceci ou cela, si votre tendance est encline à ceci ou cela pour prévenir l’État social des désagréments potenciels que vous pouriez lui causer, à cet État des choses ; en bref de savoir si vous êtes blanc ou noir, jaune ou vert et quelles est la couleurs de vos taches ; et d’une manière prédéterminée et définitive : bureaucratique, en somme.
Vous ne devez pas vivre par vous même ce que vous êtes, vous devez correspondre à ce qu’on attend de vous, sinon gare !
C'est aussi une manière de plus de rigidifier la vie, de la mettre à l'envers : l'autentique est l'inerte, l'invécu, le vivant est devenu le faux dont il faut prouver la véracité par rapport à l’invécu, au mort.
Un autre disait, il n’y a pas si longtemps : le travail mort domine le travail vivant par l’Économie : il n'avait pas prévu un tel flicage de ce vivant, ou de ce qu'il en reste encore.

On nous demandera bientôt une empreinte du fond de l’œil, à cet œil dont on dit qu’il est une émanation directe du cerveau : que contiendra ce « flash » enregistreur nécessaire pour la prendre, cette identicité d'emprunt ? Quelle naïveté dans la confiance qu’on accorde à ces policiers ! je veux dire à ces politiciens ! non... à cette Économie qu'il faut protéger, au prix de l'intime des gens.
Ce « flash » poura ne rien contenir, bien sûr, mais il vous aura pénétré jusqu'au fond de vous-même, à l'arrière-crâne, et vous n'aurez rien à y redire.
Moi, ce qui ne gêne le plus, c'est qu'on puisse inventer de telles insanités... pour le bien commun. Pouah !

samedi, 04 mars 2006

L'universalité de la dureté des temps

Des agriculteurs en colère parce qu’ils ne peuvent utiliser des pesticides que d’autres utilisent : ce qui fait qu’ils produiraient moins de produits merdeux… à vendre : les pauvres, c’est si difficile de vivre en ce moment, ils sont tous sur la corde raide.
De ouvriers de l’armement en colère car la fermeture de leur usine les mettraient au chômage : les pauvres, c’est si difficile de vivre, en ce moment, autant continuer à construire des engins de mort.
Des industriels inventent des chimères (ogm) pour rendre possible l’utilisation d’un pesticide particulier qu’ils sont les seuls à avoir inventé et à vendre : les pauvres, c’est si difficile de vivre, en ce moment : imaginez tous ces gens au chômage, désemparés devant la vie qui les a fait naître face au souci permanent (ce sont des humains intelligents, n’en doutons pas, propres à comprendre et à agir en conséquence de ce qu’ils ont compris) de se nourrir, même sur la peau des autres.
Des industries pharmaceutiques (qui sont généralement les mêmes que celles qui fabriquent les pesticides, les fongicides, les défoliants, les herbicides) sont entrain de concocter des molécules pour renforcer les défenses « naturelles » des mamifères à station bipédiques de sorte qu’ils puissent supporter les produits utilisés par l’industrie agricole. Les mêmes études sont depuis longtemps déjà en cours pour le nucléaire… sans résultat probant : la thyroïde de certaines personnes est vraiment trop sensible, il n’y a qu’à l’ablater : les chirurgiens sont très doués pour ablater : un organe c’est un truc statistiquement démontrable comme abscond que l’on peut remplacer aisément par la dépendance à un médicament… fabriqué par ces industries pharmaceutiques. Et puis ce qui a disparu ne se voit plus, n'est-ce pas ?
Des députés votent une loi dispensant ces industriels de toute reponsabilité en cas de contamination et de l’environnement par ces chimères et des cultures des paysans bio, qui ont, eux, choisis (et ça marche) de ne pas utiliser de pesticides industriels : faut bien donner du travail à tout le monde, c’est si difficile de vivre en ce moment ! On créera des emplois dans le tri !
Des virus, qui existent bien avant que les mamifères n’existaient sur la planète (et il n’y a que celle-là sous nos pieds) devenus de dangeureux terroristes (quelle panique !!!), ou peut-être que ce sont les journalistes, je ne sais pas (93 morts sur 163 000 contaminés cela donne un taux de 57 pour 100 000 de mortalité, même ramené à l’année -684 morts- on est loin du cours normal de l’existence qui s’octroit 1776 morts pour 100 000 vivants). Bien sûr il y a la souffrance de la maladie, mais qui est exempt de maladie sur cette planète (et il n’y en a qu’une sur laquelle nous posons nos pieds) ? C’est ça qui fait que les temps sont durs.
Des volailles parquées à raison de 13 au m3 sont sensées être à même de se défendre contre un plus-que-microbe super malin car son pouvoir d’adaptation est super malin : mais comment faire pour nourrir tous ces gens ? On injecte des anti-dépresseurs aux cochons pour qu’ils périssent moins vite de neurasthénie en grossissant autant (vous avez parlez d’obésité ? Qui s’ennuie dans cette charmante société, à se faire du gras ? Les anti-dépresseurs dont le consommateur profite ainsi, l’estomac plein, tout cela ça rassure !) Les temps sont tellement ingras, n’est-ce pas ? Allez ! Cloisonnez-moi celles qui sont libres ! La liberté c'est la mort, tout le monde le sait, le sauvage ça tue, indistinctement et sauvagement !
Les gens sont cloitrés dans les croyances des autres auxquelles ils croient dur comme doute, mais on obéit quand même, vu que tout un chacun agit ainsi, toutes les images de la télévision nous le montrent en long, en large et en travers (quelle télé quand on en a pas !). On va même jusqu’à punir ceux qui n’ont rien à faire de ces fadaises de journalistes et de politiques, de pharmacopée délirante et d'agro-monnaie, par des lois spéciales (qu'on n'ose plus nommer liberticides, le mot lui-même est exsangue) édictées dans ce but, pour combattre et interdire leur comportement "abhérant, irresponsable et contagieux" ; pour eux les temps sont vraiment très durs car ce sont certainement eux, qui se prennent en mains, en charge et organisent la vie autour d’eux ainsi, qui sont les responsables de tout ce tas d’ordure, c’est sûr !

vendredi, 03 mars 2006

Publicité mensongère

Lorsqu'on parle de sainte bible, de saint coran, de sainte torah, des saints pères de l'église, ou des Églises, la fête de tous les saints, les saints évangiles, le saint office, le saint-esprit, les saints-innocents, de guerre sainte, etc., il faut sans honte clarifier la définition du mot "saint".
Comme un panneau publicitaire cache un tas d'immondices, ne serait-ce que par l’image qu’il donne à montrer, cette sainté consiste essentiellement en la reconnaissance de l'auto-torture, de l'abstinence, de l'hypocrisie vis-à-vis de la vitalité de la vie vivante : comme si la vie pouvait être pure parce qu'on en a idéalement ôté la sexuation des êtres.
Rien de tout cela n'est "souverainement pur et parfait" ou "irréprochable" sinon purement l’aliénation de la sexualité. Un saint (ou une sainte) est un aliéné affectif qui est adoré parce qu’il correspond à ce qu’on demande des gens : qu’ils renient le plaisir de la vie physiquement, car ils ne peuvent faire autrement.
« Immaculée conception » veut tout simplement dire « qui n’a pas été entâchée de sperme », cessons d’être dupes.

jeudi, 02 mars 2006

Solution "nul de conduite"

Il y avait eu aussi un projet hitlérien, dans le même genre, précurseur de tout le reste, en 1933-1935, qui avait eu, cette fois là encore, l'aval de la profession psychiatrique. Aujourd'hui, les gens sont un peu plus matures, semble-t-il, on aura plus de chance que cette insanité ne passe pas. Ces gouvernants, qui n'ont absolument pas le sens de l'histoire, n'ont aucun sens du commun, pour rester poli. Leur seul intérêt est la paix sociale, et ce projet voudrait y contribuer toujours selon la sempiternelle optique de demeurer en place, en fermant la gueule le plus tôt possible aux gens par la camisole médicamen-menteuse, car ici se situe bien la thérapeutique.

Et il faut faire oublier le sens de l’histoire.

Il est donc intéressant de noter que, avec une systématique qui frise l’obsessionel si elle se manifestait chez une seule et même personne, lorsqu'il se présente socialement les mêmes problèmes pour la société en place, la même brouille sociale, dont les enfants en bas âge ne sont précisément que des éponges affectives, les gouvernements se défendent d'une manière identique, dont les résultats sont toujours plus catastrophiques que les problèmes qu'ils veulent traiter.

Si les enfants qui ont des troubles du comportement, ce sont leurs tuteurs, incapables de les nourir correctement d’affectivité qui en sont les inducteurs ; et ils ne peuvent guère faire autrement puisqu'ils sont eux-mêmes affectivement déranger, par exemple en admettant des postes de police dans les lycées, comme « solution » au problème de la délinquance : où est ici l'apport à une « solution » de cette délinquance dont on refuse de comprendre le problème ?

mercredi, 01 mars 2006

Retour aux sources : Abraham

Ce personnage est le pilier sur l'action duquel se fondent quatre religions monodéistes : l'hébraïque, la catholique (et l'orthodoxe), la protestante, et la mahométane. On situe son apparition vers 2000 avJC, sans chipotage à 1000 ans près, ça n'a pas d'importance.
Ce qui a de l'importance est sa symbolique : c'est, dit-on, Abraham qui a instauré la circoncision comme acte physique certifiant son asservissement au dieu patriarcal, cautionné par cette mutilation.

L’instauration de la circoncision par Abraham est l'histoire de la symbolique de cette mutilation. On ne trouvera pas exactement la solution de cette symbolique dans le comment elle a été instaurée (le sacrifice d'un fils changé par le sacrifice d'un mouton en échange de cette circoncision faite sur un autre, toujours : on ne connaît sans doute que des gens rendus fous qui se soient auto-mutilés, n'est-il pas ?) mais on trouvera le contexte dans lequel ceci est advenu : déjà l'élevage était systématisé en tant qu'institution sociale (et donc l'apparition des maladies qui y sont liées : la tuberculose et la peste) ; et tout son bardât patriarcal (chef de famille, chef de fratrie donc : hiérarchie des individus et répartition correspondante des richesses du monde ; amoindrissement de l'importance sociale de la femme, la prostitution, c'est à dire : séparation de la sexuation féminine en maternité d'une part et objet de plaisir d'autre part) avait recouvert de ses ailes la société humaine.

La fonction de cet acte fondamental n’est que la certification d'un état que l'on voudrait de fait pour asseoir physiquement son pouvoir (qui commence toujours par le pouvoir sur la femme qui en retransmettra la forme à leur progéniture) : la fonction de cet acte fondamental est le rejet physiquement matérialisé de toute volupté commune avec sa compagne, la femme, en prenant un dieu qu'on a auparavant inventé pour une telle justification.
Cette « symbolique » est essentiellement une réalité violente, d’une tristesse immense que l'on l’impose dès le plus jeune âge à l’enfant et mâle et femelle. C’est l’acte volontaire mâle (qui utilise donc sa force physique, musculaire) du vouloir perdre toute connivence avec la femme pour co-vivre le monde. La Genèse, le récit mythique de la création de l’humanité, correspond à cette époque, et on y raconte précisément que la femme est l’origine du malheur du monde. Un peu plus tard, ce reproche sera si prégnant qu’elle devra subir à son tour l’infibulation et l’excision, pour la même raison : le rejet, le refus physiquement marqué de la volupté de l’étreinte amoureuse ; d’êtres égaux devant cette étreinte, et au cours de cette étreinte.

Là réside l’importance de ce personnage, ou d’autres, prophètes à leurs heures d'une identique inégalité devant la vie qui va son cours.

mardi, 28 février 2006

Résistance à la transformation

Sait-on qu’environ 40% de l’énergie électrique produite se dissipe sous forme de chaleur dans l’atmosphère au cours de son transport entre le lieu de production et son lieu d’utilisation ?
Cela dû à l'effet Joule, vous ne saviez pas ? Ca se mesure en ohm et ampère.
Un fil électrique présente une résistance (ohm) du fait qu'une quantité d’électricité (ampère) le traverse.
Comme la puissance transportée est égale à ampère que multiplie voltage, on augmente le voltage pour transporter moins d'ampères, et ainsi amoindrir l'effet joule puisque la quantité fait résistance, pas la qualité (voltage).
On a besoin pour cela de deux transformations, une en tête de ligne et l’autre en bout de ligne qui change ampère en voltage, et inversement. On doit aussi ajouter leur rendement (environ 85%) au seul effet Joule dans le transport le long de la ligne haute tension.
Ce qui fait que sur 100 d'énergie produite à l'usine, qui elle-même est produite avec un rendement entre 45% (centrales nucléaires) et 70% (centrales hydroélectriques), il n'en arrive au plus que 50 au pas de la maison (transfos + lignes).
Je n’évoque pas les rendements de l’usage domestique (voir résistance) et je fais fi ici de son usage industriel dans le « pourquoi fabriquer quoi ? ».
Faisons le compte !
Un chauffage héliothermique (ce qu'on appelle capteur-plan) avec un réservoir-tampon bien conçu permet "théoriquement" (d'après les bureaucrates) une économie de 50% de l'énergie habituellement consommée pour le chauffage domestique. Mais il s'agit toujours de l'énergie électrique arrivée au pas de la porte mesurée par votre compteur. Car en comptant donc cet effet joule, l'énergie réellement économisée à partir du pied de l’usine électrique, mesurée par son compteur, avoisine les 75 à 85 % ; soit un taux de rendement de l'ordre de 90% du système héliothermique par rappoprt au système électrique, au départ usine de l'électricité jusqu’à l’utilisation.
(Même si l'énergie est utilisée par chacun elle est produite pour tous, donc nous en sommes tous responsables).
On a trouvé un mensonge de plus, n'est-il pas ?
Combien de centrales nucléaires (centralisation de la production) sont en trop, ou ont été construites pour dissiper 40% de l’énergie produite dissipée en seule chaleur lors du transport ? Ben… 40%, soit 22, minimum.
Et combien de mensonges par omission pour dévaloriser les énergies « douces » ?
Car, le taux de rendement de la transformation de l'énergie en une autre, dans notre cas héliothermique par rapport à une centrale hydroélectrique, est de 25% supérieur à la production centralisée d'énergie. Que dire, donc, d'une centrale nucléaire ?

lundi, 27 février 2006

Vague à l'âme

Ce qui se passe en ce moment, c’est exactement un bouilli-boulga de vieux trucs qui se voudraient neufs, de l’ancien temps qui perdure et de quelques idées et pensées intéressantes que, pour l’instand, cette soupe noie. Ce mélange ne laisse rien présager de clair, car chacune des choses qui le composent fait plus de bruit que l’autre pour montrer qu’elle existe, que c’est elle qui a raison et que c’est elle qu’on doit suivre : il y a là juste une histoire de quantité et un résumé en deux mots de l’Histoire de la Quantité.
Les femmes se voudraient vraiment libres et indépendantes, mais elles continuent de s’accrocher aux basquettes de la séduction sexiste (et non pas sexuée), une sorte de rituel de l’amour titillé par la crainte de perdre la ferveur des mecs pour lesquels elles doivent se grimer afin d’éveiller cette même ferveur qu’ils marchandent par manque d’intérêt pour leur profondeur ;
L’écriture se voudrait significative mais le sens des mots n’est plus le même pour tous (sans parler de la surexcitabilité de leur charge affective) : on entend même des cours de lexicologie à la radio pour mettre les pendules à l’heure à un mot par jour ;
Faute d’avoir entretenu un sarclage honnête, des vieux binzs à calote, kippa, et le reste, germent encore, ainsi que leur antithèse (sempiternelles complices de l’aliénation) d’extrême-droite et ceux qui n’y ont rien compris à la liberté du vivre à l’extrême-gauche, à ceci près que ces extêmes se sont fortement déplacées vers le centre, pour s'y mélanger ;
Les théories révolutionnaires sont perdues dans des vieilles bretelles devenues très laches qui tentent de soutenir une ardeur blasée au changement : on n’en tient plus compte, comme si elles n’avaient jamais trouver une efficacité, un jour, et aussi des malheurs subis ou provoqués : elles se retrouvent empêtrées dans les plis de leur pantalon qui leur descend aux genoux, car on y comprend plus rien (pourquoi ? comment ? quand ? où ?) ;
L’amour reste dans une sphère nommée « cocon familiale », la sexualité s’en ressent : toujours liée à la reproduction ou à des malheurs maladifs, la satisfaction et son désir restent sur le seuil du craintif ;
Les préoccupations que l’on peut avoir de l’état de santé de la planète se trouvent âprement confrontées aux rigueurs de l’intransigeante Économie, depuis un peu plus d'un siècle maintenant (hé oui, combien le temps passe vite !) devenue autonome ;
La plus vieille des tortures patriarcales est toujours aussi légitime : la remise en cause du travail, dont l’excès se mesure à l’emprise de la pollution devenue planétaire, de cet « animal remarquable qu'est l'être humain » est obstruée semble-t-il dans cette belle intelligence qui tente en vain de se comprendre et comprendre ce qu’elle fait et crée.

Et moi, dans tout cela, qui ne suis qu’un petit péteux d’intello, incapable de sortir un mot de prévision. On est pas sorti de l’auberge !

dimanche, 26 février 2006

Calotine liberté

Quand on vous disait que les religions sont stupides avec toutes les caricatures !

Quelle stupidité d’avoir gerbé celles des mouvements d’extrême-droite : ici se situe précisément leur intolérance.
Et tout cela sur un mensonge, qu’elles ont elles-mêmes créé, et bâti avec l’aide des journalistes et que ne sais-je encore !

C’étaient bien évidemment ces mouvements qui se ridiculisaient en participant à ce genre de manifestation (qui ne résoudra rien, par ailleurs, mais alors, rien de rien) et non pas elles en les acceptant, ce qui donnait une mesure de leur intelligence.

Toutes les religions, ces cultes voués à la personne, à des idées ou à des chimères, haïssent la liberté, même celle d’expression, qu’elles disent pourtant libre, mais selon leur modalité !

Cache-misère

Dans tous les cas, dès qu’on parle de religion, dès qu’on met la religion sur le devant de la scène et uniquement elle, comme une irrationalité qui cache une rationalité, c’est pour cacher une autre misère. Aujourd’hui, je ne puis pas précisément dire laquelle, mais c’est de toutes façons pour cacher une misère, pour empêcher que les gens se penchent practiquement sur un problème en passe d'être résolu, car solvable.
C'est aussi reporter à plus tard cette solution.
Il y a qu'à force de report, l'avenir en bourré de solutions qui concernent le présent, s'agglutinant les unes aux autres, devenant nébuleuses, de sorte qu'on ne sache plus, finalement, en distinguer une de l'autre et par laquelle il faut commencer !

Pour un voleur, toute personne qu’il vole est plus riche que lui, sinon il ne trouverait pas, intellectuellement, à la voler.

samedi, 25 février 2006

Investissements circulaires

Nos gouvernants ont plusieurs manières de faire perdurer ce monde : ce sont eux qui orientent, dirigent, gèrent les options qui pourraient nous en sortir.
C’est que leurs intérêts ne sont pas les nôtres. Le fait qu’ils répondent à d’autres intérêts que les nôtres, en disant que les intérêts auquels ils répondent sont des nôtres, n’a de mystère que la qualification du pouvoir, qui ne répond qu’au pouvoir.

Ainsi, pour les énergies dites nouvelables : si les investissements consentis au nucléaire l’avaient été dans ce genre d’énergie, il n’y aurait quasiment plus d’usage du nucléaire. Ce ne sera que lorsqu’un pouvoir, qui sera uniquement économique, se manifestera en puissance dans l'utilisation de ce genre d'énergie douce, que l’on portera, alors, son intérêt à la chose… mais il sera déjà beaucoup trop tard.

Les médias participent aussi à cette sauce du camouflage, bien sûr, puisqu'ils suivent, et en profitent, ces cachoteries délétères, s'en repaissent même, su que leurs choux gras se formulent dans la constance de l'expectative, de l'ambivalence, du paradoxe : le maintien de l'ambigüité, en tout.

La persistance du dépourvu fonctionne ainsi aisément, avec les moindres heurts, dans une société bien policée, auto-policée même pour ce qui concerne les médias. Cette paix sociale parait à tous si évidente, comme l'acceptation de ce monde, que lorsqu'apparaît une ou deux "déviations" à ce statu quo, la mayonnaise monte à la panique.
Il est vrai que cela étonne tout un chacun, puisque tout devrait tourner rond !

vendredi, 24 février 2006

Mortelle mortalité

77 morts causés par le chikungunya sur 130 000 cas de contamination par ce virus, cela donne :
59 morts pour 100 000 comme taux de mortalité.

Le taux de mortalité générale en France, par exemple, pour l'année 1999-2000 est de
1776 morts pour 100 000 habitants.

Reste-t-il la possibilité à la mort de mourir ?

Le fait religieux

L’explication du monde par un religieux sera toujours religieuse : le religieux est incapable de comprendre autrement le monde. Il a devant le nez la vérité − fluide comme le vent − , il la contournera en trouvant une de ses explications qui ne sera compréhensible que dans le cadre religieux et logique uniquement dans ce seul cadre.
Il fera toujours en sorte que l’explication qu’il donnera du monde concorde avec son fait religieux, à la fois, donc, parce qu’il est incapable de penser autrement et à la fois parce que l’explication rationnelle du monde montre les aspects irrationels de son fait religieux, ce qui correspondrait , en bref, à dénier son fait religieux.

La qualité première d’un fait religieux est bien d’être, hélas ! religieux : il est incapable de penser autrement que sur le fondements de son fait religieux, qui est dieu : c’est cela le fait religieux. Il y a réponse à tout dans le cadre de la religion.

Une religion n’est pas une race, ce n’est qu’une manière de penser le monde. Une race est un type humain, avec du sang chaud dans le corps : la religion n'aime pas le sang chaud, sinon que pour le refroidir. Je contiens dans ma constitution même toutes les races humaines et ne détient qu’un type.

« La torture [par exemple] a été condamnée comme crime contre l’humanité mais environ 48 000 viols [féminins, masculins] sont commis en France chaque année dans l’indifférence générale (dont environ 40% sur des mineurs) »

C’est précisément parce que le fait religieux, qui est une torture à la fois physique et psychique infligée dès le plus tendre âge et affirmée comme étant le seul moyen de vivre le monde, contient en soi cette forme de maltraitance psychique et physique, qu’il met en exergue sa propre souffrance sur tel ou tel point de la réalité, voulant oublier qu’une atteinte à l’humain est une atteinte à l’humain, pas à la religion, quelle qu’elle soit ; pour oublier par cette action qu’il est religieux, pour le faire oublier comme évidence, pour montrer qu’il souffre du fait de cette action (c'est à dire combien c’est douloureux d’être religieux), montrer qu’être religieux c’est souffrir avec passion et combien on le fait souffrir d’être religieux !!! Moi je ne veux faire souffrir personne, bien évidemment, mais le fait religieux me fera souffrir de me montrer sa réalité.

jeudi, 23 février 2006

Le bogue du virus

L’excellence de la vie c’est le mouvement, qui se manifeste, par la traversée du temps, dans la transformation, le passage vers une autre combinaison composant un ensemble précis d’éléments interagissant dans un ensemble plus vaste d’éléments selon un cadre, lui aussi précis.

La vie c’est la transformation. Elle transforme et tout se transforme. La mort est une fonction de la vie qui se transforme, car chaque chose (du minéral, du végétal, de l’animal) est un phénomène de transformation de l’unité particulière qu’elle manifeste, intégrée dans un ensemble sans lequel elle ne pourrait exister et dans lequel elle puise pour vivre ; et cette particularité ne puit pas se transformer en utilisant les éléments dans et par lesquels elle est intégrée dans un plus vaste ensemble, sans permettre aux autres particularités d'elles, aussi, se transformer : bien qu’infinie, la vie est limité, bornée.

Dans son mouvement, tout un chacun a remarqué que les choses naissent, croissent et meurent après un paroxisme de vitalité plus ou moins long, suivant un terme global qui lui est dévolu.

Dans cette extraordinaire vivacité, l’être humain est la vie qui transforme, c’est la transformation qui transforme. C’est l’évolution de la transformation arrivée à un tel état de transformation qu’elle transforme à son tour. Cela l’être humain doit le comprendre, car si c’est encore infini, c’est aussi borné ; outre que ce soit une mirifique responsabilité.

Il comprendra alors que ce qu’il nomme la maladie est l’action et la réaction d’un être particulier à l’ensemble des autres vies dans et par lesquelles il vit. Ce n’est pas qu’il n’a plus de force pour lutter pour "survivre", mais plus assez de force pour harmonieusement correspondre avec le contexte dans lequel il vit, en tant que particularité.

Dans la maladie il se protège donc contre sa propre désintégration, et non pas « lutte » contre un élément qui utilise cette désintégration pour vivre. Ce que présentement on nomme « maladie » est le stade achevé d’un phénomène de la vie qui est depuis longtemps en marche dans l’être, c’est à dire soit un dernier recours vers la guérison, soit l’ultime recours par la mort.

Comprendre la maladie n’est pas seulement comprendre les symptômes de telle ou telle maladie, c’est comprendre comment on en arrive à se protéger d’une désintégration de son être, c’est comprendre ce qui se passe de beaucoup plus loin en amont que les seuls symptômes. Car la désintégration, comme l’harmonie, de toute particularité est partie intégrante du mouvement de la vie.

L‘humain qui transforme donc la transformation infinie mais bornée, doit donc aussi comprendre que son ultime transformation passera par la mort, tout simplement, pour comprendre que cette mort est aussi une harmonie dans le mouvement de la vie, et qu’il vit pour vivre harmonieusement, qu’un virus n’« attaque » pas, mais profite.

La maladie, pour l’être qui transforme la transformation, devrait être pour lui l’occasion de reconnaître en quoi sa transformation est débilisante, qu’il emplâtre ses erreurs. Il ne le fera jamais, ou trop peu : il moura, donc, et non plus seulement comme particularité, mais comme genre ; et au lieu d’une mort paisible, harmonieuse, dans les souffrances qu’il sait si bien générer dans la pensée mécanique, ou mystique, qu'il a du mouvement de la vie, qui l'effraie tant.

mercredi, 22 février 2006

Hydre, crapaud, baudroie, scorpène

Il faut montrer du doigt où se cache le fondamentalisme religieux : si on le laisse couver, si on ne fait pas assez pour le mettre en évidence, il ira démesurément.

En le laissant se manifester, on leurre les gens qui n'en connaissent rien (ou qui n’en veulent rien connaître), car le fondamentalisme monodéïste est dangereux pour les personnes : maltraitance à l’enfance, dépréciation de la femme, répression de l'amour, avilissement de la sexualité, etc. vous comprenez ?

Le besoin de dieu comme être de pouvoir est indispensable aux gens du pouvoir qui se croient investis d’une mission, dans un monde où ils consentent tout, et principalement les éléments qui leur permettent de rester au pouvoir.

C’est parce qu’on est allé crier dans les églises au cours des année 50 « dieu est mort » qu’on a fermé sa gueule au catholique. Maintenant il faut courir vite car l’aliénation est devenue légale, protégée par la loi.

La religion est une représentation de l’humain dans son monde duquel il est séparé, c’est l’opium qui lui permet de rester dans sa misère. Je n’ai pas le désir, ni le besoin, de rester misérable, d’autant plus si on m’y oblige en me gavant de religieux.

Le fait religieux se rabiboche la réalité en la rendant fausse, en tordant le cou de l’évidence, en lapidant la mesure du bon sens, en travestissant sa beauté, en affirmant qu’il n’y a que par lui que le bonheur est possible, alors qu’on connaît ses œuvres millénaires.

La vie disparaît sous le voile du fait religieux. Le fait religieux refuse d'admettre que je sois responsable de ce qui m'arrive, que l'humain soit responsable du monde créé par l'humain.

mardi, 21 février 2006

Manifestation religieuse contre le racisme discriminatoire des tortures

Des malfrats, sans foi, ni loi, enlèvent une personne soupçonnée d’être riche, ou d’avoir une communauté familiale riche (sinon quel intérêt pour eux de l’enlever : on est malfrat mais on est pas bête pour autant). Elle est torturée pour la pousser à formuler sa détresse de sorte que cette communauté filiale paie plus promptement sa rançon. Dommage, elle meurt, pas bellement.
Mais c’est étrange, n’est-ce pas, cette personne s’avère être par ailleurs de confession juive. Les personnes de cette confession, d’elles-même, font l’amalgame (puisqu’ils y répondent positivement) selon lequel être juif équivaut à être riche, puisque potentionellement kidnapable !!
Et les membres de cette confession, en toute logique, d’aller manifester dans la rue une demande de protection particulière envers eux (qu’importent ceux qui ne sont pas de cette confession, finalement, puisqu’ils ne font pas partie de ces supposés riches) afin de n'être plus, eux, le prix d’une cible aux yeux des malfrats ; car ils réalisent quand même qu'ils sont considérés comme riches, comme d’autres dans d’autres confessions, ou sans confession.
C’est étroit d’esprit car un malfrat de ce genre atteint là où il suppose de l’argent, c’est son métier, que diable ! Il ne s’agirait donc pas de protéger certaines personnes plus égoïstes que d'autres mais d’éviter de donner le change à ces malfrats, bien sûr.
C’est la durée de la détention qui a tué le séquestré, pas sa confession qui, au pire, n’a fait qu’exacerber les tensions que cette durée a générées. C’est donc la pingrerie des riches et la couardise du voisinage qui en sont la cause indirecte, pas la confession.
Et dire que la justice se veut indépendante devant le pouvoir politique... !

Programme

C’est que chaque revendication particulière flirte avec une « aliénation » particulière, une fixation revendicatrice bio-affective personnelle qui, dans sa quasi-cécité, peut avoir le malheur de se retrouver dans une revendication collective d'un moment (il suffit qu’un chef, qu’une idole en sache faire la synthèse) et alors devenir extrêmement dangereuse pour le genre humain.
Et chaque revendication particulière étant une protection par elle-même contre une agression affective, se protège aussi des autres pour se sauvegarder et cherche à se retrouver dans une solution sociale valable.

Aussi l’évolution de la société vers une satisfaction de vivre ne marche-t-elle que péniblement dans un jeu de balance entre ces deux extrêmes.

Mais l’objet même de la revendication est toujours éloigné de son but, car on ne peut demander à une revendication, qui est par soi une aliénation, de régler le problème de la satisfaction, du bonheur (sinon que parfois par erreur) puisque le bonheur est pour une grande part un phénomène social, global.

Il existe pourtant deux aliénations, qui sont présentes en tous car elles englobent tout, dont on peut revendiquer l’exécution ou bien la disparition, que tout un chacun peut prendre sur soi, car la solution de ces deux aliénations sera toujours positive : je veux parler du travail, du labeur, à travers la pollution que génère ce labeur borné dont on commence à prendre conscience, et pour le moins la sauvegarde de la satisfaction de vivre enfantine de l'enfance, qui une fois arrivée à l’âge adulte saura alors trouver d’autres solutions plus efficaces et radicales à ces deux problèmes.

Dès lors, toute personne, tout syndicat, tout parti politique, toute religion qui revendique plus de travail, c’est à dire n’a rien compris à l’urgence de la planète dont les cris multiples s’éteignent ; et évite par tous les moyens dont on se sait capable de trouver des dispositions pratiques (genre Summerhill, ou au minimum genre Montessori, Freinet, etc.) pour sauvegarder les plaisirs de l'enfance, sont des traitres, et bon à mettre à la poubelle. On ne peut leur faire confiance pour accéder à un avenir moins pourri, disons en deux générations, au genre humain et de son milieu ambiant.

C'est surtout de savoir qu'on ne peut alors faire fausse route.

lundi, 20 février 2006

Profil changeant

Le porte-avion est retiré du marché indien, car le Conseil constitutionel a confirmé son statut de déchet ; pas les centrales nucléaires, sans doute parce qu’il s'agit de déchets neufs.

L’humain est capable de résoudre ses problèmes « énergétiques », et ils seraient en grande partie résolus si les investissements consentis au nucléaire l'avaient été, justement, ailleurs. Notamment, comme réduire l'énormité de cette hémorragie énergétique.
L’énergie développée doit être consumée, et on en produit pour la consumer. Et elle ne se peut être consumée que par le travail, le labeur !

Les suppositions de Charles Baudelaires sont devenues des certitudes : cette planète est devenue un débris pour une cause qu'il a assez bien identifiée :

car « parmi les chacals, les panthères, les lices,
Les singes, les scorpions, les vautours, les serpents,
Les monstres glapissants, hurlants, grondants, rampants,
Dans la ménagerie infâme de nos vices,

Il en est un plus laid, plus méchant, plus immonde !
Quoiqu’il ne pousse ni grands gestes, ni grands cris,
Il ferait volontiers de la terre un débris
Et dans un grand baillement avalerait le monde ;

C’est l’
travail ! – l’œil chargé d’un pleur involontaire,
Il rêve d’échafauds en fumant son houka.
Tu le connais, lecteur, ce monstre délicat,
– Hypocrite lecteur, – mon semblable, – mon frère !
»

On ne s'en débarassera certainement pas par la simple consumation.

dimanche, 19 février 2006

Taux de réponse

Le terme « interactif » est amusant car il s'agit d'octroyer la possibilité au public le choix entre des bêtises qu’on a auparavant sélectionner pour lui, car il n’y a pas d’autres choix que celles-là, sinon ce serait dénoncer de cette « interactivité » une bêtise qui ne veut tromper qu'elle-même.

Il en est ainsi de ce H5N1 : une société capable, d’une manière tout à fait irresponsable, de fabriquer des véritables chimères, dont elle cache le nom sous celui d’Organismes Génétiquement Modifiés, se trouve tout à coup « stupéfiée » par la mort d’un canard… sauvage, la vie sauvage. Par nature, elle est déterminée à oublier que la maladie est un résultat social, directement relatif aux conditions sociales dans laquelle telle maladie se manifeste** et qu'elle conditionne. Et comme cette société connaît instinctivement sa fragilité, les dispositions qu’elle prend contre une invasion virale potentionellement mutante, et non chimérique, lui donne toutes les possibilités de déclencher des dispositions pour dompter encore les êtres qu’elle maltraite, s’ils s’y adonnent béatement, et ainsi de policer davantage, par habitude maintenant, les pensées, leurs cheminements et leurs aboutissements.
Cette méthode me rappelle cette constitution d’un jour… qu’on concocte déjà pour vous la faire tout de même passer, à l’aide de l'entonnoir de la propagande à venir : le pouvoir se voudra toujours être ignorant du fait que les gens peuvent se dessiller.

(** c’est précisément en cela que les vaccins sont une supercherie. Les personnes atteintes par ce virus, ou mortes du fait de ce virus, avaient des conditions d’hygiène déplorables, on le sait)

Tant qu'à faire...

Le fait que chacun de nous tienne dur comme fer à sa revendication en tant que manifestation de sa personnalité est peu propice à l’établissement d’une idée générale nécessaire à un plus grand nombre, de sorte que ce commun englobe aussi cette particularité.
Mais c’est un bien aussi : si l’endoctrinement est l'acceptation d’une auto-suggestion en se persuadant qu'un autre puit avoir raison car on ne sait qu'en penser, on est au moins sûr que ce disparate est la mesure même de la diversité, c’est à dire aussi de sa garantie.
Par ailleurs, le fait de savoir que l’on possède, soi, une originalité, pourra permettre d’aller chercher celle des autres ; et un programme basé sur des renvendications minimum basées sur ce que l’on ne veut pas ou ne consent pas faire de soi, au minimum, n’est pas si mauvais finalement. Il est bon que ce soit clair dans la tête de la personne qui le formule.
Une critique de la fonction du travail dans notre société de labeur (qui travaille pour qui, comment, pour quoi et pourquoi) est intéressante de ce point de vue.
Car, à bien y regarder, mes amis, la pollution est l'exacte mesure du travail excédentaire : pour qui, pour faire quoi, comment, pourquoi ?

samedi, 18 février 2006

Caricatures d'un prophète ? Foutaise de dieu !

L'Organisation de la Conférence Islamique (OCI), 57 pays, veut faire passer dans les actes du futur Conseil des Droits de l'Homme l'affirmation selon laquelle « la diffamation des religions et des prophètes est incompatible avec le droit à la liberté d'expression », voir Le Monde d'aujourd'hui.
L'ONU est en train de travailler « à un compromis sur la base de formules générales » mais l'OCI reste intransigeante.
Ce documents doit être agréé par les 191 pays membres. Il est évident que les cathos, les protestants et les niais se renforceront autant d'un avantage à voir adoptée une telle formule dans un tel texte. Outre que la plupart des signataires sont par ailleurs signataires des Droits de l'Enfant dont ils se contrefoutent, ils trouveront ici un point d'appui, un rempart contre les défenses qu'on pourrait adopter contre leurs insanités.

Je trouve excellente cette déclaration de Ayaan Hirsi Ali.