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mercredi, 07 juin 2006

Autodestruction

Ce sont les gens qui font leur propre existence :
- ce sont les gens qui passent aux feux rouges, ils n'y sont pas obligés ;
- ce sont les gens, incapables d'autogouvernement, qui élisent des malades affectifs pour les gouverner, ils n'y sont pas obligés ;
- ce sont les gens qui entrent dans une rue, avec leur voiture, comme en pays conquis, ils n'y sont pas obligés ;
- ce sont les gens qui salissent la planète, ils n'y sont pas obligés.
Ce sont les gens qui sont responsables de leur propre existence : maladie, famine, guerre, répression de l'enfance, de l'étranger, de la femme, du patron, du cambiste par l'argent : personne n'est OBLIGE de procéder ainsi : c'est un CHOIX que les personnes, personnellement, font de vivre ainsi, même s'il s'agit d'une maladie affective dont ils ne font rien pour s'en sortir.
Ce sont les gens qui prennent l'avion (qui polue pour deux de chacun d'eux), qui choisissent une hygiène d'écouvillon, la mère qui engueule son enfant parce que son patron l'a humiliée, le père qui violente sa femme pour retrouver un peu de pouvoir que sa vie de lavette lui ôte (attention ! si il comprend ''lavette'', pour lui ça veut dire anti-toromatchiste ! c'est à dire qu'il va tenter de prouver le contraire en faisant l'althérophile !), ce sont les gens qui humilient les enfants en bas âge en maternelle par le manque de respect pour leur personne (car l'enfant est une personne qui ne demande que guide jusqu'à son indépendance), ce sont les gens qui strangulent les corps des enfants dans des poussettes et qui ne les entendent pas lorsqu'ils demandent de la liberté par crainte d'un malheur étrange qui serait inhérent au fait de VIVRE. En aucun cas ils y sont obligés.
Ce sont les gens qui sont responsables de leur propre malheur, et ils sont si accoutumés à vivre dans le malheur qu'ils ne savent plus même qu'ils vivent continuement dans ce malheur de vivre.
La vie est à un tel taux de malheur que ce malheur s'auto-entretient. Ou, pour le moins, on voit au point de malheur de la vie qu'il ne peut plus que s'auto-entretenir : rien ne l'y oblige, sinon l'inertie des gens.

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