Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

vendredi, 29 octobre 2010

À narchie, anarchie et demi

Pour ne plus se faire entuber par ceux-ce qui veulent tout s’accaparer pour eux, je propose une ou deux solutions.

Préambule :

Les gens aiment qu’on les hypnotise par les paroles, par les images, par les sons. On ne peut pas faire autrement, sinon le monde ne serait pas ce qu’il est ; les gens aiment oublier leur condition d’être humain par ces moyens et d’autres encore : on ne peut rien y faire, c’est la nature de l’humain. L'humain a besoin de se savoir et de se sentir plus vrai que nature et ce vrai est l'affectivité sociale qu'il reçoit. L’humain n’est ni bon ni mauvais, il EST selon lui-elle : point. Il doit cependant se méfier de lui, de ses réactions, comme de ses décisions dès lors qu’il lui est attribué une responsabilité, car il aime aussi dominer : l’ivresse du pouvoir est d’un attrait irrésistible pour beaucoup trop d’entre nous et elle est la plus dure des drogues, plus dure encore que celle du vin et celle de pouvoir faire souffrir légitimement l’autre.

Il est indiscutable que nous devons nous organiser et, en conséquence, trouver une organisation pour cela. Dès qu’un humain, à d’extrêmement rares exceptions quasi-mythologiques, est mis au pouvoir, il se corrompt : à penser que l’humain et le pouvoir, ça ne va pas ensemble. Mais pour autant, il est besoin d’une organisation collective, c’est-à-dire de gens, de personnes à qui on délègue, car on ne peut soi, s’occuper de tout, de telle et telle tâche qui font parties de l’organisation normale de notre société. S’il faut un pouvoir, il faut un contre-pouvoir. Mais les gens se lassent et sont paresseux : la passion du commandement n’entraîne que quelques lambins qui veulent faire les lanternes. On peut pourtant poser une ou deux règles.

L’objet de ces règles est de protéger l’humain contre lui-même. L’humain, pris collectivement, doit savoir qu’il est nuisible à son genre et doit l’admettre, le reconnaître pour prendre des dispositions qui restreignent cette aptitude. L’humain tue, éventre, castre, circoncit, infibule, meurtrit, torture, maltraite par mille chemins divers ; il sait que cela doit cesser car cela l’incommode, mais il ne sait comment. L’humain n’est pas un « ange » ni un « démon » qui sont des vues de son aptitude à la création d’images qui le rassurent sur ses propres pensées diffuses desquelles il ne peut rien faire et ne sait généralement rien faire. De plus, il aime la cachotterie, la dissimulation, l’intrigue, les affaires, les scandales, le sang et les affrontements et est friand de ce qui se rapporte à la sexualité des autres, mais cela ne doit pas nous empêcher de vivre chacun notre vie comme on l’entend.

L’organisation politique simple que je propose vise à ce but de sorte que cette disposition de l’humain voit sa nocivité diminuée notablement. Mais c’est surtout lui qui doit trouver des solutions pour qu’il se rende des comptes sur cette nocivité, devant tous car c’est un problème commun de tous à tous contre tous. En conséquence, y trouver une solution conviendra à tous. L’humain doit pouvoir se donner à ses vices comme à ses vertus sans poser de problèmes de danger général.

La problématique se situe au niveau de l’amour social, de l’affectivité sociale. Cet amour ne se manifeste aujourd’hui que dans les supporters sportifs et les adhérents d'associations : ça donne une mesure de ce dont je parle et de ce qui est ; comme on voit son antithèse dans la xénophobie et les diverses ségrégations, classes politiques, coteries, etc.

Et c’est ici que la correspondance entre l’amour individuel et social, celui qui est socialement donné, se retrouve. L’amour social correspond exactement à l’ensemble, manifesté comme une entité, des possibilités d’amours particuliers. Que l’amour particulier se manifeste « égoïstement » (accaparement de l’affectivité de la progéniture, dédain pour l’autre sexe, pour son propre sexe, mépris de l’enfance, de la femme enceinte, de la parturiente, orientation de l’affectivité de l’enfant vers un but, une fin, une prédestination, l’amour particulier quoi ! comme celui qu’on éprouve pour un chien que vous faites déféquer dans les jardins publiques ou les rues !), l’amour social, la manière dont l’humain, comme manifestation collective de lui-même, manifeste son amour pour lui-même et ses modalités, y correspondra comme une moyenne arithmétique de l’ensemble des amours qui le composent. C’est dire la qualité de l’amour des particuliers, aujourd’hui, dans certaines parties de cette planète ! J’ai bien dit « arithmétique » : le grand amour particulier existe, mais il se diluera dans l’amour social pour ce qui est de sa manifestation sociale, tout comme le scandale amoureux de la torture et de l’assassinat ; et comme dans ce jalon de mesure de la douleur qui s’étale de 1 à 10, il pourra se situer à gauche de l’amour ou à droite de la haine autour du chiffre 5 qui n’est pourtant pas encore de l’amour.

Le plus gravitique problème que doit donc affronter l’humain, est de revivifier l’amour social qui est lui-même relatif à l’amour particulier. Rude tâche. La solution commence par la critique du TRAVAIL puisque c’est ce qui le relie immédiatement à sa propre condition d’animal, d'être existant. L’humain travaille parce qu’il s’ennuie et il ennuie tout le monde, toute la planète avec son satané travail. Il s’ennuie parce qu’il ne sait pas aimer, parce qu’il ne s’aime pas et surtout socialement. Socialement, certains inventent des tâches imbéciles, humiliantes, délirantes que d’autres, beaucoup plus nombreux, pourtant, exécutent bêtement, stupidement, opiniâtrement ; et qui pleurent parce qu’ils n’auraient pas leur part du gâteau qui résulte de LEUR travail ; l’astuce consistant à leur faire penser, que dis-je CROIRE qu’ils ne sont responsables de rien de ce qu’ils réalisent, mais ceux qui les payent qui ne sont responsables de rien, pas même de leur propre maladie sociale qu’ils étalent aux yeux de tous par les moyens modernes de communications, comme à l’époque grecque où l’énergie de la vapeur était utilisée pour hypnotiser le peuple par des cérémonies religieuses et non pour soulager sa tâche car elle aurait supprimé l’esclavage ou au Moyen-Âge où les seigneurs empêchaient les progrès techniques agricoles à seule fin d’éviter que le peuple s’émancipe en refusant sa pauvreté : il suffit toujours pour cela d’accabler ce peuple, détenteur de la plus grande part de l’affectivité sociale, de TRAVAIL en l’assommant d’impôts de toutes sortes, c’est-à-dire en capturant une équivalence sociale à son travail uniquement en raison directe de sa soumission, avec son esclavage affectif très généralement, comme dans la famille, certifié par la peur des coups.

La petitesse d’espace qui est donnée, individuellement, au résultat de sa propre activité, salariée ou non, est la prison monétaire de sa révolte. La « dialectique du maître et de l’esclave » a montré que ce sont les deux pôles de ce couple infernal qui sont malades, chacun l’un de l’autre, en tant que système, que mode de relation affective, sociale. La mesquinerie en est le miroir le plus évident et le plus immédiat, tant dans la relation entre ce maître et cet esclave et inversement, que dans la conception même que l’un demande à l’autre, et inversement, de la Vie, l’usure comme système et comme modalité injectée dès la naissance de ce qui va bientôt exister, dès la conception même de tout. On a saisi que le mot « usure » a deux sens, bien gras : le sens monétaire et le sens mécanique.

En conséquence, le monde doit faire d’abord avec ce qu’il est et non avec ce qu’il voudrait être ; l’idéal est une idée, pas un but. Ainsi, il doit faire avec la paresse, la fainéantise, le vice, tout autant qu’avec la vertu, la générosité, la grandeur d’âme. Les plus disposés à l’entendement se doivent de composer avec ceux qui en ont le moins, non pas pour les exploiter, les avilir ou les écraser, mais pour les sortir de leur crasse : l’intelligence est un moyen, pas une fin, l’affectivité est une fin et un moyen, c’est lorsqu’elle fait défaut qu’elle est la fin de l’intelligence.

L’humain n’a pas le choix d’être bon, sinon il le serait déjà depuis belle lurette ; il ne le sera jamais, il faut donc faire avec et prendre des dispositions pour que ce mal-bon fasse, chez d’autres, le moins de dégâts possibles. Les rêves humains sont trop grands pour la petitesse et la faiblesse de l’énergie affective qu’il met à les réaliser, car plus il est écrasé et plus il rêve et plus ses rêves deviennent grandioses moins il peut les réaliser, et ainsi de suite : son énergie affective s'évapore dans ses rêves. L’humain doit se désabuser quant à sa condition qu’il croit être relative aux cieux où, j’en suis persuadé, on doit vous demander une obole pour uriner dans un endroit ad hoc, comme au Carrousel du Louvre où tant de modernité insiste à coups d’enseignes de lumières, à faire oublier tout simplement que vous vivez, que vous êtes doté d’une vitalité qui a des conséquences immédiates… et monnayable, c’est-à-dire une chose-âme morte hissable au stade des dieux de sa fumée.

Par ailleurs, ses grands rêves sont si ténus qu’il suffit d’un ou deux discours pour les rendre totalement inefficients, sans substance : quand on est encore jeune, une claque; quand on a un peu plus vieilli, quelques gendarmes, un loyer et un emprunt ; plus vieux encore, les enfants dont on doit s’occuper à faire vieillir le plus rapidement possible ; vieux avant l’âge, on n’a plus la force de même s’en souvenir et vieillard, ils restent ce qu’ils ont toujours été : des rêves. Bien sûr, l’humanité évolue, mais ce n’a jamais été qu’indirectement, à cause de ce qui la plombe, l’argent, la modalité de recherche effrénée du profit dont on veut toujours ignorer que, pris ici, il est soustrait là et d’autant que la masse est importante, comme dans les vases à osmose inverse.

L'humanité n'a évolué qu'à cause de la technologie qu’implique la marchandise comme mode de fonctionnement : la classe sociale diffuse qui ne demande qu’à se défaire d’une conséquence pour elle aussi fâcheuse y est passive. Ses rêves doivent être plus terre-à-terre, moins soutenables pour être durables, ce durable dont elle doit cesser de faire l’économie. C'est l'hygiène de l'eau qui est technique, qui a éradiqué les maladies d'une époque ; c'est l'hygiène mentale, affective, qui est relative aux conditions affective de la vie sociale, qui amoindrit la crasse intellectuelle.

Loin d’évoluer directement à cause de son affectivité (qui est encore de l’ordre de Louis Capet dit le quatorzième), l’affectivité de l'humanité évolue indirectement à cause de sa technique : l'humanité n'a pas encore d'emprise directe sur son affectivité sociale. Et le peu qui est entrepris pour améliorer cette « chose » dont parlait Charcot lorsqu’il évoquait l’hystérie à Freud, est si infime, si minime, si dérisoire que cette humanité qui va dans le mur à cause de cet aveuglement, va droit dans ce mur avec un sentiment d’impuissance irrévocable, soutenable et indéniable. Certains pleurent déjà de la catastrophe, à chaudes larmes, d’autres veulent l’ignorer, mais le résultat est le même : on ne fait rien pour changer cette lacune fantastique de l’entendement humain sur lui-même et le monde dans lequel il vit et qu’il détruit à coups de hache, de bulldozer, de parkings à supermarché, de raffineries de pétroles, de pneus dont la gomme s’en va dans les égouts à chaque pluie et des fuites d'huiles de ses individu-mobiles, de pesticides, de poisons, d’usines à poisons, de guerre, de violence à l’enfance, d’ignorance, de petit Jésus sans sexe et de Vierge sans pénétration ni même de tâche de sperme, de coups de matraque, de règles salariales et syndiquées, d’affamement, de bouffe dégueulasse, et j’en passe comme de devoir déshabiller une pomme de sa robe pour ne pas être empoisonné par la pelure de la marchandise. Le résultat est là, devant les yeux, le nez, le goût, les oreilles de tous, mais l’ensemble ne fait rien. L’humain est sans doute bon en tant qu’individu – si si, pour une très grande majorité – , mais en tant qu’ensemble, en tant que collectif, il est impotent. C’est un étrange animal qui se renie en tant que tel, animal, pourvu d’un pouvoir de nuisance incommensurable n’ayant pour limite que la numération inverse de son nombre, et encore ! qui rêve de soumission pour les autres – et fanatiquement pour ses enfants ou son chien qui lui servent d’instruments de mépris – et lorsqu’il ne le peut, de se soumettre au moins pire avec une déférence à la mesure de son hypocrisie, cette crainte de ne pas être ce qu’on ne voudrait pas paraître ne pas être : un pleutre face à cette « chose » que Freud a développé plus tard dans ses essais sur la sexualité enfantine, enfance dont Reich disait qu’on n’y comprenait rien parce qu’on ne comprend rien à la Vie. Et, pourtant, la vie est là, ici et maintenant et partout, comme la vérité.

La politique sera donc ce qui regarde l’humain en tant que collectif et la manière dont il comprend, agit sur et réagit à ce collectif pour qu’il nuise le moins possible à chacun qui est doté de la liberté, dès la naissance, qui, dès sa naissance, est doté de la libre disposition de soi.

Ligne de conduite :

La première règle concerne la DURÉE du mandat politique : un mandat pour une action, une tâche, etc. ne doit durer qu’une année et une seule. On va me dire : « oui, mais un an, ce n’est pas suffisant pour faire quoi que ce soit » : obtus, répondis-je, car ne penses-tu pas que 1 - c'est TOI qui délègue, 2 – pour UN mandat, 3 – que tous tes délégués actuels sont INCAPABLES en CINQ ans de faire quoi que ce soit qui eut pu amélioré ton cas et donc, qu’un mandat de un an n’aura pas plus d’inefficacité qu’un de cinq ou sept ans.

Ces mandats sont des MANDATS, c’est-à-dire des ORDRES du peuple pour effectuer telle ou telle chose, pas des desideratas de particulier. Le contre-pouvoir est là pour constater que ce mandat est correctement exécuté et que seul CE mandat est exécuté. Aux gens donc de discuter du mandat à exécuter : c’est de cette manière et de cette manière seule qu’ils auront le pouvoir sur LEUR vie en prenant les décisions qui les concernent au moment où elles doivent être prises et où elles sont prises en vue d’être réalisées.

La seconde règle : Nul ne peut prendre plus d’une fois le MÊME mandat politique. : il lui est loisible de se charger d’autant de mandats successifs qu’il veut, mais jamais deux fois le même. Non pas qu’il ait pu se montrer incompétent ou non pour l’exécution d’un mandat, mais que nul ne doit devenir spécialiste politique sous peine de massacrer l’organisation sociale, l’humain en tant que collectif, on le sait. Il ne doit plus y avoir de spécialiste politique, la politique doit se diluer dans les gens, dans le peuple. Il serait étonnant que soit élu à un poste quelqu’un de vraiment incompétent : si tel est le cas, le contre-pouvoir a le pouvoir de restreindre, comme son propre mandat l’autorise, la marche du mandaté qui n’exécute pas son mandat, ou le dévie.

Puisque les gens l’ont choisi, c’est le mandaté qui adopte la forme et les moyens de l’exécution de son mandat ; si la tâche se voit devoir être orientée dans une autre direction que celle initialement posée car à l’exécution, comme bien souvent, il se présente une solution plus aisée, il est de la responsabilité du mandaté de la réaliser (une durée de mandat de un an ne peut mener à de grandes catastrophes) selon cette nouvelle forme et ces nouveaux moyens. Le mandaté n’engage pas seulement SA responsabilité, il engage aussi celle de l’humanité et de ses choix.

Chaque différend d’ordre politique est porté devant un Conseil formé de trente trois personnes élues ou tirées au sort qui juge de l’opportunité de porter l’affaire devant tous, sinon il statue. Cette affaire, portée devant tous, est jugée par tous. Les différends d’ordre privé sont réglés par un Conseil formé de trente trois personnes élues ou tirées au sort qui juge de l’opportunité de porter l’affaire devant tous, sinon il statue.

Je peux ajouter d’autres règles, annexes :

- nul ne peut détenir plus d’un logement (un logement comprend ce qui est nécessaire pour être confortablement logé : salle de bain, cuisine, buanderie, cave, deux pièces par personne plus une commune). Chacun est autorisé à avoir son propre logement dès une année et une seule, après sa puberté, à charge de pouvoir l’entretenir dans le cadre de la collectivité. Des logements collectifs sont possibles. Chacun fait ce qu’il veut chez soi, sauf à gêner son entourage.

-  pour ce qui est de la monnaie : le prêt à intérêt est interdit, l’intérêt est aboli : il n’est pas autorisé de faire de l’argent sur de l’argent, de créer de l’argent à partir de l’argent par l’usure sous quelque prétexte qui soit. Nul n’est autorisé à détenir plus de la richesse cumulée que celle des trente trois personnes les plus pauvres (à eux de les enrichir !). L’héritage en numéraire est interdit ; l’héritage en biens est soumis à un Conseil, spécialement élu pour un an, comme les autres Conseils, de sorte que la richesse passée ne s’accumule pas à celle du présent qui doit être toujours suffisante.

- chacun fait de lui-même ce qu’il veut, l’esclavage est aboli, il y a autorisation de production artisanale libre, sans emploi de travail salarié. Le salariat est aboli. Il n’y a pas d’ennemis du peuple à moins que le peuple soit impotent auquel cas, sa soumission le regarde. Il est accordé la liberté de la parole et de presse à tous, sans exception. La liberté de réunion et la liberté d'association est octroyée à tous, sans exception. Une association de personnes ne peut revendiquer de propriété de quelque nature qui soit, seule la Commune peut se dire propriétaire de biens communs, qui appartiennent à tous et dont tous sont responsables. L’État ne possède rien. La rotation des lieux de juridiction permet de régler le problème de l’entretien des bâtiments à usage collectif, comme les lieux de réunion de pays. La police est une organisation des gens pour régler les problèmes, pas en créer : il n’y a donc pas de corps payé pour faire la police. L’enfant ni la femme, ni l’homme ne peuvent être soumis, arrangeons-nous. Les criminels de quelque nature doivent être compris comme des affectivités socialement dérangées.

- la terre : celui qui veut s’occuper d’une exploitation peut revendiquer un droit d’appartenance jusqu’à dix hectares de labour, de prés et/ou de bois, dont il fait ce qu’il veut. Il ne peut avoir de salarié. S’il peut s’occuper de plus de dix hectares, il doit le prouver pour assurer une appartenance, sinon n’importe qui peut revendiquer ce surplus pour l’exploiter soi-même dans cette limite des dix hectares d’occupation totale. Un Conseil de dix personnes nommées pour un an, règle les différends.

- la question de l’argent et de la publicité des mandats. Ceux-ce qui sont riches ? Modérer la richesse : une personne ne peut pas être plus riche que, mettons, dix personnes ensemble prises parmi les plus pauvres, même si ces pauvres le sont volontairement à ne vouloir pas s’activer pour l’obtention des richesses. Le riche est tributaire des pauvres, de toutes les manières, ici cela ne changera rien, sinon que d’en limiter les dégâts.

L’expérience (Asturies, Communes, Kronstadt) montre qu’il n’y a pas nécessité pour les mandatés de recevoir compensation pour leur mandat, ce qui pourrait doubler le sujet de leur possibilité de corruption. Il n’y a de progrès social qu’affectif, la résignation est la résignation de l’affectivité à ne pas vouloir être ce qu’elle est ; point.

Commentaires

voila qui prete a reflexion

Écrit par : marseille | lundi, 27 décembre 2010

Les commentaires sont fermés.