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lundi, 19 juin 2006

Répression sexuelle et religieuse

Je vois les revendications particulières, telle que celles de l'homosexualité masculine ou féminine, que cet extrême dans le désir de reconnaissance du religieux, etc. comme des atteintes au patriarcat et qui participent au délitement de sa morale par la recherche de liberté qu'elles contiennent ; et je vois leurs exigences comme autant de dénonciations à la fois, certes, des souffrances que ce patriarcat leur a fait subir, mais aussi comme le fait de ne plus admettre qu'elles sont le fruit de ce patriarcat, qu'elles n'auraient pas lieu d'être dans un autre contexte d'encloisonnement de la liberté.
Les homosexuels ont forgé un nouveau mot « hétérosexisme » qui signifie non seulement que je pourrais être contre l'homosexualité mais de plus que je serais en faute de ne pas être pour elle et me met dans la position du délit par rapport à elle. Il en est de même pour le judaïsme avec ce Dreyfus qu'on veut mener au Panthéon (vite, vite, vite, car j'ai déjà les keufs aux fesses d'écrire cela : j'en ai rien à faire du Panthéon - aïe aïe aïe - de l'homosexualité - aïe aïe aïe - et de la condition du pratiquant d'une religion sinon que lorsque celle-ci attente pysiquement à l'intégrité corporelle de l'enfant, de même que l'Islam, par la circoncision, sinon que chacun fait ce qu'il veut de sa vie, arrêtez de frapper ! aïe aïe aïe ! zut, arrêtez ! j'en ai rien à faire de ces bétises !) : je serais anti-sémite de ne pas approuver ce genre de chose alors que je trouve cela douteux par l'intérêt qu'on veut y faire porter.
Aurais-je encore un jour la possibilité d'avoir une opinion autonome ? Faudra-t-on me condamner parce que je suis indifférent à l'homosexualité, à la relogiosité, parce que je revendique, moi, qu'on a pas le droit de me forcer à y porter mon attention ?
D'après ces gens, d'écrire ce que j'écris en ce moment est déjà délictuel : savent-ils qu'ils créent un monde pire que celui qui leur a spolié leur liberté d'être ?
Etablir un jugement et une condamnation basée sur une affection particulière est aussi présente là qu'ici dans la répression qu'ils subissent et dans celle qu'ils veulent faire subir pour se défendre mieux.

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