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mardi, 02 mai 2006

Disparition naturelle

Il y a la corrélation de deux évènements dans la disparition d'une civilisation ou d'une organisation sociale ; ce qui a lieu en moins d'un siècle. Il y a *) l'excès dans un usage que cette civilisation fait d'une possibilité offerte par la nature qui se conjugue avec *) une catastrophe naturelle, qui n'a pas obligatoirement de lien avec cet usage excessif, mais dont cet usage ne permet plus de palier.
L'excès de l'usage d'une particularité de la nature est une base de cette société en question, un fondement d'organisation sociale, c'est à dire, dont les relations entre les êtres qui forment cette société ne peuvent se passer dans le cours de leurs relations : c'est l'idée fixe de la société en question.
Bien évidemment, quand une société nait, nait du même temps son mode d'organisation sociale, les relations autour desquelles les êtres fondent leurs relations, qui en est une des caractéristiques principales, fondatrices.
Lorsque meurt une civilisation, rien ne renaît de ses cendres ; l'autre civilisation, si la première n'a pas trop détruit l'environnement naturel autour d'elle, surtout lorsqu'elle est planétaire, se fondera ailleurs ; et c'est dommage lorsqu'il n'y a la possibilité que d'une seule planète : car les rêves de la vieille civilisation, par exemple d'aller vivre sur d'autres planètes, ne fonctionnent pas dans la civilisation qui vient, puisque ce sont des fadaises dont elle veut se débarasser.
Corrélativement, lors de la disparition de cette civilisation, il y a une perte concidérable dans la population, particulièrement dans la partie qui s'y est adaptée avec le plus de passion.
Karl Marx disait que l'humain est le seul animal qui fait l'Histoire... quand il en est conscient, et il s'agit toujours de la sienne propre, puisqu'il emporte le monde dans son Histoire. La nature n'a pas besoin de savoir écrire pour vivre.

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