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dimanche, 19 février 2006

Tant qu'à faire...

Le fait que chacun de nous tienne dur comme fer à sa revendication en tant que manifestation de sa personnalité est peu propice à l’établissement d’une idée générale nécessaire à un plus grand nombre, de sorte que ce commun englobe aussi cette particularité.
Mais c’est un bien aussi : si l’endoctrinement est l'acceptation d’une auto-suggestion en se persuadant qu'un autre puit avoir raison car on ne sait qu'en penser, on est au moins sûr que ce disparate est la mesure même de la diversité, c’est à dire aussi de sa garantie.
Par ailleurs, le fait de savoir que l’on possède, soi, une originalité, pourra permettre d’aller chercher celle des autres ; et un programme basé sur des renvendications minimum basées sur ce que l’on ne veut pas ou ne consent pas faire de soi, au minimum, n’est pas si mauvais finalement. Il est bon que ce soit clair dans la tête de la personne qui le formule.
Une critique de la fonction du travail dans notre société de labeur (qui travaille pour qui, comment, pour quoi et pourquoi) est intéressante de ce point de vue.
Car, à bien y regarder, mes amis, la pollution est l'exacte mesure du travail excédentaire : pour qui, pour faire quoi, comment, pourquoi ?

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