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mardi, 21 février 2006

Manifestation religieuse contre le racisme discriminatoire des tortures

Des malfrats, sans foi, ni loi, enlèvent une personne soupçonnée d’être riche, ou d’avoir une communauté familiale riche (sinon quel intérêt pour eux de l’enlever : on est malfrat mais on est pas bête pour autant). Elle est torturée pour la pousser à formuler sa détresse de sorte que cette communauté filiale paie plus promptement sa rançon. Dommage, elle meurt, pas bellement.
Mais c’est étrange, n’est-ce pas, cette personne s’avère être par ailleurs de confession juive. Les personnes de cette confession, d’elles-même, font l’amalgame (puisqu’ils y répondent positivement) selon lequel être juif équivaut à être riche, puisque potentionellement kidnapable !!
Et les membres de cette confession, en toute logique, d’aller manifester dans la rue une demande de protection particulière envers eux (qu’importent ceux qui ne sont pas de cette confession, finalement, puisqu’ils ne font pas partie de ces supposés riches) afin de n'être plus, eux, le prix d’une cible aux yeux des malfrats ; car ils réalisent quand même qu'ils sont considérés comme riches, comme d’autres dans d’autres confessions, ou sans confession.
C’est étroit d’esprit car un malfrat de ce genre atteint là où il suppose de l’argent, c’est son métier, que diable ! Il ne s’agirait donc pas de protéger certaines personnes plus égoïstes que d'autres mais d’éviter de donner le change à ces malfrats, bien sûr.
C’est la durée de la détention qui a tué le séquestré, pas sa confession qui, au pire, n’a fait qu’exacerber les tensions que cette durée a générées. C’est donc la pingrerie des riches et la couardise du voisinage qui en sont la cause indirecte, pas la confession.
Et dire que la justice se veut indépendante devant le pouvoir politique... !

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