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lundi, 08 février 2010

Le voile dévoile aussi la circoncision

La portée de ce voile va beaucoup plus loin que le simple fait de cacher la joliesse du sexe féminin aux yeux des humains de sexe mâle (ne fussent-ils pas de la confession de celle qui le porte) : elle veut imposer une pratique religieuse dans l'espace réservé aux relations de la République avec ses citoyens.

Cette pratique religieuse ne se réduit pas au seul, ostentatoire et simple port d'un voile : il s'agit de l'organisation entière des existences susceptibles d'être régies d'une religion, une vision du monde, qui implique, sur le territoire de l'Europe des pratiques que l'Europe ne tolère pas dans ses lois. Je pense par exemple, à l'excision et à la circoncision (art. 16-3 du Code civil et art. 222-9 et 222-10 du Code pénal). Pour ce qui est de l'excision, apparemment, le problème serait presque résolu : la femme de confession islamique est protégée par les lois de notre Europe afin que cette mutilation sexuelle ne lui soit plus administrée : elle a, elle-même, sur le territoire de l'Europe et en ayant pour base l'Europe, pour le reste du monde où cette mutilation était pratiquée, participé à son abolition. Quoi qu'il reste du travail, c'est quand même parfait. Mais reste la circoncision.

Ainsi le voile islamique n'est pas seulement l'aliénation de la femme, car cette aliénation implique obligatoirement la circoncision, obligatoirement. Si la femme de confession islamique entend contester l'interdiction faite à toutes confessions d'exhiber tous signes d'appartenance à une religion dans les lieux placés sous la responsabilité de la République, elle corrobore par là même le fait que l'homme de confession islamique doit, de son côté, être obligatoirement circoncis ; c'est-à-dire à imposer une légitimité à la circoncision par la légitimation du port de son voile. Que le fait de se faire circoncire soit une décision d'adulte, tout comme une religion est de l'ordre de l'intime, cela ne me regarderait pas ; cependant comme il s'agit de circoncire des enfants sans que ces enfants (vers sept ans pour l'Islam) aient quoi que ce soit à dire contre cette mutilation génitale sous prétexte religieux à eux faite, là cela me concerne. Et cela concerne aussi les lois européennes qui interdisent toute mutilation d'ordre sexuelle ou corporelle faites aux enfants.

La circoncision n'est pas le don de soi à Dieu, mais la prise par un adulte du prépuce de l'enfant, en le tranchant de son corps, pour le "donner" à une conception de Dieu que possède un adulte qui, de ce fait, l'impose à l'enfant. L'enfant ne donne pas son prépuce à Dieu, on le lui prend (pour rester poli). (Il en est de même des tatouages de croix fait sur le dos des mains à leurs enfants par des chrétiens dans certains pays musulmans). La femme de confession islamique désire rencontrer des humains mâles circoncis, car cela fait partie des conditions sine qua non de sa religion, c'est-à-dire que l'humain mâle non-circoncis serait "sale", non consacré à Dieu. Si ce précepte pouvait recevoir l'allégeance d'une société où les conditions matérielles de l'hygiène ne s'y prêtaient pas, aujourd'hui, cette pensée n'a plus cours, car les raisons matérielles de l'hygiène ne s'y prêtent plus ! S'il s'agit de n'avoir de relation qu'avec des adultes circoncis, l'alternative serait que seuls ces adultes décident d'eux-mêmes de cette circoncision pour rencontrer ces femmes qui se consacrent à Dieu ; c'est-à-dire, pratiquement, que la circoncision ne doit plus être pratiquée sur les enfants.

Dans toutes les religions monothéistes, on ne peut que constater le rapport direct entre l'abstinence obligatoire, c'est à dire une sexualité compulsive, le port par le mâle humain d'une calotte, kippa, etc. et, chez la femme, un voile. Car peut être cet échange douloureux : puisque je suis circoncis (même du coeur), tu dois porter un voile et je porte le voile pour montrer que je suis ostensiblement consentante à la perte du tien.

D'autre part, on sait depuis longtemps que l'adulte reproduit les blessures qu'on lui a affligées lorsqu'il était enfant. Vouloir imposer le voile islamique c'est vouloir infliger à l'enfant cette blessure de la circoncision : l'un ne va pas sans l'autre ... et ira, donc, aussi longtemps que cette mutilation sera pratiquée, plus une génération : celle des enfants présentement circoncis contre leur gré, bien sûr.

La religion est de l'ordre de l'intime : cet intime est personnel, il ne serait être imposé à un tiers. La protection de l'enfant passe aussi par la protection de la mère, c'est-à-dire la responsabilité de l'enfantement, non plus pour une cause, mais pour le bonheur et le bien-être de l'enfant lui-même.

Au surplus, il faut que cesse d'être considérée comme "raciste" la critique de la religion. La religion est une idéologie, pas une race ! Lorsqu'on critique une religion, on cherche à comprendre les tenants et les aboutissants de cette religion, les devoirs et les buts de ses pratiquants, de reconnaître parfois là où elle pèche dans les restrictions qu'elle apporte à la liberté --déjà-- établie. Les pratiquants de l'Islam immodéré parlent d'atteinte à leurs Droits de l'Humain qui sont par excellence laïques, et qui leur permettent de s'exprimer. Quelle expression laissent à ces Droits de l'Humain les pays où l'Islam immodéré régit les lois ? Aucune ; à peine sont-ils traduits dans la langue de cette religion rendue immodérée. Les Droits de l'Homme sont des droits d'ordre public, c'est-à-dire qu'ils ont très peu à voir avec ce qui est de l'ordre intime, personnel auquel, par contre, ils permettent et protègent l'expression : ils ne seraient être remis en cause, comme on tente de remettre en cause la laïcité de la République par le port d'un voile (qui implique la circoncision) pour satisfaire aux seules expressions d'une religion.

 

Commentaires

Article courageux.

Il n'est pas facile, encore aujourd'hui, d'ouvrir un débat sur la circoncision. L'interdit de remettre en cause une telle pratique reste fort. De puissants lobbys essayent de faire passer cet acte primitif comme une mesure d'hygiène qui aurait des bénéfices sur la santé, notamment récemment avec des pseudo études scientifiques qui "prouveraient" une réduction du VIH.

La circoncision est perçu comme une "trahison maternelle" par l'enfant circoncis dont la mère n'a pas été capable de le protéger. Il est en résulte des sociétés misogynes avec tout ce que cela implique, burqua compris.

Écrit par : Claude | lundi, 08 février 2010

Merci, vous complétez tout à propos ce post !

On laisse, selon moi, bien trop le politique écraser le vivant. De voir le statut du voile du seul aspect politique est se voiler la face vis-à-vis de ce que cache et pratique la religion, ce qu'implique et oblige la religion d'Islam (alors que rien n'y correspond dans le Coran et que cette pratique n'est qu'une pratique recueillie des Egyptiens tardifs, comme chez les Hébreux) et qui est aussi la circoncision, interdite en Europe.

C'est essentiellement politique que de de rien dire sur ce fait, que de se taire sur cette mutilation volontaire infligée dès le plus tendre enfance. C'est pour cela que j'insiste tant.

Votre commentaire prédit la misogynisation du mâle à travers cette blessure : c'est une très fine observation. Cette blessure ne s'oublier et cette misogynie se manifestera par des obligations pour la femme, comme de porter un voile, par exemple. C'est une très fine observation.

Donc, j'insiste : en se taisant sur cette pratique, la circoncision, on blesse gravement l'affectif qui, on le sait, d'une telle blessure ne peut que tenir vengeance sous une forme ou sur une autre ; et cette vengeance ne sera pas obligatoirement rationnelle, loin de là : elle s'appuiera sur n'importe quoi pour arriver à ses fins.

Le voile qui se manifeste *politiquement* manifeste aussi la circoncision ; et la légitimation publique de ce voile, légitimise *politiquement*, de facto, la circoncision.

De laisser le politique écraser le vivant, permettra AUSSI à l'ennemi de procéder à des malversations qui y correspondront, en équivalence, selon le mode de faire de cet ennemi.

C'est de cela que je veux me protéger : donner des armes à l'ennemi pour qu'il soit plus malfaisant encore, car les esprits ne se tournent que vers ce que nous montre cet ennemi, et ici la religion est le point d'appui de NOTRE ennemi : d'un seul boulet il fait coup double !

Écrit par : Kristariteau | lundi, 08 février 2010

Hum. Voile, circoncision... ne s'agirait-il pas de pratiques que l'Islam aurait empruntées au judaïsme ? Le prescription du voile est clairement affirmée dans la Bible, c'est beaucoup moins net dans le Coran. Il en est de même de l'essentiel des interdits alimentaires. L'âge de la circoncision est très variable selon les confessions, au sein même des différentes variantes de l'Islam (en Iran, par exemple, elle est pratiquée sur le nouveau-né de quelques mois).

Au fait, Jésus, il était circoncis, non ? Ça lui a donné envie de voiler les femmes ? Vous êtes sûr ? Et puis toutes ces générations d'enfants circoncis par mesure d'hygiène au USA ou en Chine, selon votre théorie, ils seraient presque tous devenus des zélateurs du port du voile...

La circoncision est pratiquée pour diverses raisons (religieuses ou autres) sur des millions de personnes depuis des milliers d'années, notamment chez les juifs. Si elle devait avoir des conséquences néfastes sur les personnes concernées, ça se saurait, non ?

Quant à l'excision, d'où sortez vous qu'il s'agirait d'une prescription islamique ? Des discussions de comptoir qui constituent le socle de vos analyses ?

Et puis arrêtez un peu avec des concepts aussi fumeux que vos "lieux placés sous la responsabilité de la République". Cela n'a aucun sens, et la République n'a jamais rien défini de tel. Contentez vous de dire que ça vous emmerde de voir des femmes voilées dans la rue (moi aussi). Franchement, êtes-vous autant agacé lorsque vous voyez un moine en soutane ou une bonne sœur en tenue se balader sur un de vos mystérieux "lieux placés sous la responsabilité de la République" ?

Écrit par : Jean-Jacques | mardi, 09 février 2010

Les Hébreux ont gardé la circoncision des Egyptiens et l'ont rapportée de leur exil d'Egypte. La légende d'Abraham, comme les légendes, est un saut du temps justificatif et présentant mieux.

Les lieux protégés par la République sont les lieux publics où la force publique et régalienne se manifeste selon les lois valables pour tous et, normalement, où tous peuvent aller et venir selon leur bon vouloir. Les autres sont des lieux privés qui n'appartiennent pas à tous. L'usage des lieux privés relève du privé et est protégé par le privé ; celui du public relève du public, même si ce pouvoir du public tend à s'amenuiser et est protégé, normalement, par le République.

Je n'ai jamais affirmé autre chose que cela me gêne de voir une femme voilée, avec un châle ou quoi ou qu'est-ce, qui ne soit pas l'ordre de la joliesse : des femmes (catho ou protesto) portaient un voile à l'église et elles n'y vont plus ; on se souvient de ces photos des Portugaises en noir de la tête au pieds : tout cela est du même Ordre, que je cherche à comprendre.

C'est à force de se faire mépriser dans la rue que les curés et les moines et les nones et les uniformes militaires ont disparus de nos rues. Voilà-t-y pas leur retour sous une autre forme ???

Vous faites référence à la circoncision pratiquée dans d'autres pays sous d'autres motifs. Suivant les prétextes qu'on donne à la circoncision, les attitudes sociales diffèrent :
- à la circoncision ayant pour prétexte l'hygiène, on trouvera une attitude sociale revendiquant une *hégémonie économique du monde* (considéré alors comme un territoire légitime) ;
- à la circoncision pratiquée sous le prétexte du maintient d'une cohésion sociale, on retrouve une *hégémonie de conservation d'un territoire* (considéré comme légitime) ;
- à la circoncision pratiquée sous un prétexte religieux, on retrouve une *hégémonie de conquête du monde* (qu'on considère comme un territoire légitime).
A une blessure identique infligée selon un certain prétexte, correspond un moyen singulier de revendiquer quelque chose.
C'est presque incroyable ce que provoque de soustraire au corps de l'enfant par le tranchage un morceau de peau lorsqu'on sait culturellement lequel trancher. Une hégémonie veut toujours s'imposer aux autres, quels qu'ils soient (peut-on parler d'amis dans un tel contexte ?), et on comprend intuitivement qu'il y a ici matière à vengeance lorsqu'on se retrouve avoir la force physique de la pratiquer.

Et je ne peux que constater que, présentement, là où la circoncision est pratiquée en masse nous trouvons, à l'heure actuelle, les individus les plus belliqueux et les plus religieux de la planète. (USA : plus de 52%, pays de l'Islam et Juifs : quasiment 100% de circoncis). La circoncision est un prétexte physique de plus pour revendiquer *militairement* quelque chose ; et c'est une blessure qu'il est difficile d'adoucir lorsqu'elle est ressentie douloureuse à cause d'un manque. Dans tous les cas, c'est l'enfance qui est mise en souffrance par un adulte qui a souffert lorsqu'il était enfant. C'est à la fois les progrès en matière de satisfaction sexuelle et à la fois le recul des maltraitances à l'enfance qui font qu'un peuple devient moins belligérant.

La pratique générale d'une aliénation, selon vous, ne serait pas néfaste parce qu'elle tournerait à l'universel. Je vois les choses à l'endroit : c'est parce qu'elle est pratiquée en masse que la circoncision est une aliénation. Le prépuce, comme les dents de sagesses, ne sont pas une aliénation naturelle, mais sociales et qui se répètent de génération à génération comme un manque incompréhensible sinon qu'une démarche intellectuelle pour sursoir à une blessure affective.

L'excision n'est pas une prescription du Coran, ni la circoncision, sinon que cette référence à Abraham. Mais l'excision est pratiquée, aujourd'hui, principalement dans les pays où se pratique la circoncision ; et inversement.

Enfin, vous dites que Jésus n'a pas voulu voiler les femmes. Jésus n'a rien fait de tel : circoncis, il répondait à la religion juive qui était à l'époque, DES religions juives dont le pivot était la Bible et pour certains la Thora. Les religions chrétiennes maintiennent tout autant bien la femme en assujettissement par les écrits de Paul de Tarse : "L"homme est l'intermédiaire entre dieu et la femme" et affirmait que "l'homme doit se circoncire du cœur". C'est la négation d'une telle absurdité, négation aboutissant à notre "civilisation européenne", qui protège l'enfance des maltraitances religieuses, parfois.

Écrit par : Kristaristeau | mercredi, 10 février 2010

La circoncision rituelle dans les hôpitaux publics:
http://www.enfant.org

Écrit par : maximeg | jeudi, 18 mars 2010

L'illustration de votre "raisonnement" par l'exemple des pays abritants "les individus les plus belliqueux" est, au mieux, une coïncidence conjoncturelle, au pire, une tentative de faire entrer la réalité de force dans votre modèle par une sélection ad hoc : d'abord que les habitants des USA soient parmi "les plus belliqueux", c'est une affirmation qui se discute ; ensuite, il existe d'autres pays au comportement au moins tout aussi belliqueux, comme par exemple la Corée du nord et qui, aux dernières nouvelles, ne pratiquent pas la circoncision; enfin, il suffit de regarder un p'tit poil dans le passé pour que votre illustration s'effondre : en 39-45, les "plus belliqueux", me semble-t-il, étaient le Japon (ils circonciseraient à tour de bras là-bas ?), l'Italie (hum, hum) et, bien entendu, l'Allemagne nazie dans laquelle, me suis-je laissé dire, il ne faisait pas bon être circoncis à cette époque.

Vous affirmez aussi que "l'excision est pratiquée, aujourd'hui, principalement dans les pays où se pratique la circoncision ; et inversement." Le "et inversement" est tout simplement faux car la circoncision n'est pas pratiquée, aujourd'hui, principalement dans les pays où se pratique l'excision: la pratique de l'excision est infiniment minoritaire (essentiellement confinée à certaines régions de l'Afrique) parmi l'ensemble des populations qui pratiquent la circoncision.

Quant au reste, je n'ai pas compris grand-chose...

Écrit par : Jean-Jacques | samedi, 20 mars 2010

@ Maximeg Beaucoup de sites sont consacrés au problème affectif, politique, social de la concision. En voici un, par exemple, ce que peu font, qui traite du "retrait du prépuce" comme violence faite à l'enfant :
http://acorgone.free.fr/Abolcir-1.html

@ Jean-Paul
Merci pour votre expression "coïncidence conjoncturelle", car selon le contexte politique d'aujourd'hui, précisément, c'est cette conjonction qui a donné lieu à mon affirmation.

Vous parlez de l'Allemagne nazi : les gens étaient contre le nazisme, on le leur a imposé, en Allemagne, selon un stratagème précis, démontrable (l'incendie du Reichstag) dans son déploiement et ses prévisions ; en Corée, les gens ne sont pas particulièrement agressifs, leurs politiciens, qu'ils ne peuvent choisir, le sont et trouvent dans leur police le moyen de les faire taire. C'est encore ici une agressivité "militaire" et non pas religieuse. Pour le Japon, sa situation sociale était si catastrophique que son gouvernement a dû employer les moyens de la guerre pour amadouer le grondement de la défaveur populaire qui trouvait à s'éveiller. L'endoctrinement d'un peuple littéralement placé sous l'anesthésie religieuse a facilité l'affaire.

Aujourd'hui, la belligérance est d'ordre religieuse ou économique. J'ai remarqué une relation entre cette belligérance, les "raisons" de cette belligérance, le taux et la "raison" de cette circoncision chez les peuples considérés. Cette "conjonction" est indubitable, aujourd'hui.

Si l'humanité tend vers la résolution des problèmes de la guerre, de la famine, de la pauvreté, et de l'amour, un ensemble d'au moins trois de ces critères nous refait plonger dans la même constatation. Là où est pratiquée la circoncision pour revendiquer une cohésion sociale, il y a la guerre ; là où est revendiquée une guerre au monde pour corroborer une cohésion religieuse, ils se tirent dans les pattes à qui sortira la tête de l'eau ; et là où la conquête de territoires pour des raisons économiques, aujourd'hui, est la plus opérante correspond au peuple qui a pratiqué pour des raisons hygiénistes la circoncision et dont la religion est d'un autre ordre relatif, aussi bien. Tous les autres peuples, aujourd'hui, n'ont pas de revendications belliqueuses, mais plutôt défensives vis-à-vis de ces revendications.

Et comme par hasard, au fur et à mesure que les Etats-uniens remettent en cause la circoncision systématique, leur belligérance décroit : ils s'amadouent ET leur économie flanche, au même titre que leur propension à se livrer au discours religieux corps et âme.

Indiscutablement, désolé pour vous, là où est pratiquée l'excision (250 millions de femmes concernées) est aussi pratiquée *en masse* la circoncision. La haine d'un sexe pour l'autre y est ici réciproquement reprochée.

Écrit par : Kristaristeau | dimanche, 21 mars 2010

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