lundi, 21 décembre 2009
Gratuité vivante et brevets du vivant
Je vous convie à visionner ces deux vidéos, interview de Geneviève Azam, maître de conférences en économie à l'université de Toulouse-le-Mirail que je trouve d'une bonne synthèse, en une simple demi-heure, de ce qui se passe aujourd'hui : l'économie est l'instrument de trois ou quatre débiles affectifs utilisée comme moyen de contrôler le vivant, le hazard, l'angoisse de la vie vivante qui leur est insupportable, l'antithèse de la confiance. Mais je le dis bien moins mieux qu'elle. Si je la rencontre, je lui fait une grosse bise !
Lien indirect (sinon la pub va vous gaver de sa morbidité)
Les parlementaires sont complices, puisque eux aussi sont en recherche de toute réglementation du vivant jusqu'à protéger ce qui ne l'est pas : la marchandise, sans vouloir guérir l'humanité de cette tare de ses relations sociales. Et, cela, par la violence, bien évidemment. Bon visionnage !
12:33 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : poésie, critique sociale, critique du travail, du journalisme, de la religion, du cinéma
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