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lundi, 21 décembre 2009

Gratuité vivante et brevets du vivant

Je vous convie à visionner ces deux vidéos, interview de Geneviève Azam, maître de conférences en économie à l'université de Toulouse-le-Mirail que je trouve d'une bonne synthèse, en une simple demi-heure, de ce qui se passe aujourd'hui : l'économie est l'instrument de trois ou quatre débiles affectifs utilisée comme moyen de contrôler le vivant, le hazard, l'angoisse de la vie vivante qui leur est insupportable, l'antithèse de la confiance. Mais je le dis bien moins mieux qu'elle. Si je la rencontre, je lui fait une grosse bise !

Lien indirect (sinon la pub va vous gaver de sa morbidité)

Les parlementaires sont complices, puisque eux aussi sont en recherche de toute réglementation du vivant jusqu'à protéger ce qui ne l'est pas : la marchandise, sans vouloir guérir l'humanité de cette tare de ses relations sociales. Et, cela, par la violence, bien évidemment. Bon visionnage !

dimanche, 29 novembre 2009

2 pi racine de l sur g

Je ne renie pas que, dans le cadre de l'écriture, tout semble bien plus intense que ce qui est ; et le lecteur, la lectrice n'en attend pas moins de l'écrivain pour s'y retrouver. Cependant, si je puis leur faire ressentir mes voyages en car entre Nantes et Fromentine, les halètements de mes pensées si incertaines toujours et néanmoins toujours sensibles aux moindres des regards perceptibles qui m'enfonceront rapidement dans le néant de l'improbable ou de l'inachevé, car sans fin réductible, le temps qui passe et qui passe encore gomme de ses minutes, au moyen de ses secondes, le manque qui va selon ses heures et ses jours.

mardi, 10 novembre 2009

De l'oeuf ou de la poule...

Je lis quelque part que le réchauffement de la planète du fait du CO2 c'est pas ça, etc. et en cet autre endroit que non, etc. : c'est plus ou pas moins pire.

Les perturbations climatiques sont indéniables : que ce soit ici du trop froid, là du trop chaud, ailleurs du trop venteux. Ce sont les raisons invoquées qui ont induit cette perturbation qui sont douteuses plutôt que ces perturbations.

Et, effectivement, de concentrer l’attention sur le CO2, comme source de profit, ne résoudra rien. Les ondes porteuses des portables réchauffent la vapeur d’eau comme un four microonde et on en dit rien. Les microparticules des combustions qui désordonnent la condensation de la vapeur d’eau en pluie n’est jamais évoquée. Les poisons injectés dans l’atmosphère qui vont se déposer ici ou là pour intoxiquer des espèces vivantes, et les dilapident : rien n’en est dit. Le soleil qui traverse le nuage de pollution qui fait la surface de l’Europe et a l’épaisseur de cinq ou sept kilomètres, stable au-dessus de l’Océan indien, ne perce pas non plus les lignes de nos journaux et l’asphyxiation de zones de mers, tout autant que leur acidification ne reçoivent pas l’attention des gens qui continuent d’aller au travail en voiture, de transporter leur marchandises en voiture, qui vont au supermarché où il leur est vendu des toxiques référencés en voiture, tout comme à leur voiture sont injectés des poisons lubrifiants ; car ils se trouvent être incapables de faire leur propre bouffe du fait d’avoir vu leur temps volé par le salariat qui produit des poisons sociaux et principalement amoureux. Leurs enfants sont maintenus, par un "amour" surrabondant, dans une impotence de leur individualité jusqu’à des âges de plus soif et on attend du monde qu’il veuille bien vous sauver de ces miasmes affectifs et de poubelles

En bref ? Quoi ??? Une bataille qu’un serpent de l'insoluble se livre à sa propre queue une guerre qu’il veut dévorer : que ce soit dans la prise de conscience du taux de CO2 qui perturbe dès une augmentation de 3% des 0,3% qu’il occupe dans l’air, l’air que nous respirons ou de tout le reste dont il sert de paravent à cette évidence et qui occupe à peu près la place que n’occupe pas la surface d’une télévision (qu’on s’efforce pourtant de rendre de plus en plus étendue pour vendre à des esprits préoccupés l’emballage de cette fiente de vie : la pub), tant que les gens ne voudront pas vivre, nous mourons avec eux.