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vendredi, 07 août 2009

Masquer dissimule toujours un manque

Selon ce journal, ou celui-la deux dirigeants de la Société Général seraient sous le coup d'un délit d'initié. Le 30 janvier 2008, j'énonçait DÉJÀ cette idée, pire, j'énonçais que du fait que Robert Day avait soustrait les 40,5 milliards en questions, c'est lui qui a fait plongé la SG.

Mais Le Monde donne cette somme de 40,5 millions d'euros, alors qu'à l'époque, j'avais glané 85,7 millions de changement direct de main. En tout, à travers les diverses manip de l'argent de Day, il y a eu plus de 93 milliards de passés des comptes de capitalisation de la SG à d'autres comptes par la décision d'UNE seule personne.

Là encore, comme pour Maldof, le chômage, la misère, etc. on diminue pour diminuer la malversation sociale de ces gens-là et le journavomiste est là pour falsifier les faits, et non pas les relater, tel qu'ils énoncent être leur métier, de sorte que ceux qui les lisent ne puissent rien comprendre à ce qui se passe.

Mais, pourtant, moi, à l'époque, j'avais bien pigé quelque chose… cela serait-il dû au fait que je boive ? Que je sois moins enclin à penser cette société comme une société désirant profondément le plus profond de mon bonheur ? Que je n'ai plus du tout confiance en quoi que disent les politiques, les médecins, les patrons, la police, et le reste, car ces gens là sont affectivement malades, ce qui implique qu'ils sont à la recherche de ce qu'ils ne peuvent atteindre de la manière dont ils s'y prennent pour l'atteindre et que cette frustration les amènent à vouloir dominer le monde et ses êtres vivants pour les maîtriser, eux ?

En quoi un journalisseur peut-il comprendre ce qu'il comprend de ce qu'il voit ? Quel est son intention en détournant les choses : ne pas les voir,LUI ? En obligeant les gens à les voir comme lui ? Et pourquoi ? Pour garder des part de marchés publicitaires (premier budget des dépenses mondiales consacré à l'ingurgitation de couleuvres) ? Non, tout cela n'est pas suffisamment juste : il est sincère !

C'est véritablement pour votre bien qu'il écrit ses mensonges, tout comme les gens qui les gobent ! Tout le monde est sincère ! Ils se font confiance les uns les autres, car certes c'est la condition première d'une société, mais c'est aussi une facilité de vivre, sinon on remet tout en cause ! Un ingénieur du nucléaire (25 ans centrales nucléaires = 250 000 ans de déchets nucléaires) est sincère : c'est pour le bien de l'humanité qu'il travaille, tout comme l'agronome de chez Mosanto ! Ces gens, tous les gens, sont sincères et ont confiance en la responsabilité de ce qu'ils font, maîtrisent, construisent, etc., même s'il y a obligation de fonder cette sincérité sur des Bureaux de vérification de toutes sortes, où les gens sont aussi sincères.

Je ne pense pas les gens sincères. Tous les gens ont des intérêts particuliers à satisfaire qui outrepassent le plus souvent (faute, non pas de sincérité, mais de sens social, du sens du commun) le bien-être social. Les politiques, la police, la justice, l'administration,les industries alimentaires, la médecine, etc. tout cela n'est pas sincère et répond à de besoins personnels des gens, du pouvoir sur l'autre car on est dépourvu de tout pouvoir sur sa propre vie. Les gens se voilent la face en se faisant réciproquement confiance, socialement, car sinon, étant dépourvu de toute autonomie affective, ils seraient perdus.

Les gens savent que le travail est la source de toute la richesse à laquelle ils n'ont pas accès, mais ils travaillent, car sinon, ils seraient perdus. J'ai lu un jour : "La plus grande des aventures dans cette société du capital, est de ne pas travailler" : le Vendée-Globe est de la gnognote à côté du fait de ne vouloir pas travailler. Le chômage est d'environ 10% actuellement, et chacun de s'agripper à son turbin dont il sait qu'il est aliénant affectivement. Et personne de penser qu'il travaille 10% de trop par manque de partage ! C'est que l'affectivité c'est le partage et le partage c'est la reconnaissance de l'autre comme équivalent à soi !

Lorsqu'on a pigé que les intérêts de ces gens qui sont riches à milliards est simplement une compensation à ce pouvoir qu'ils n'ont pas sur leur propre vie affectivement parlant, on comprend qu'ils n'ont rien à faire des autres, et que leur but, sur lequel se fonde la sincérité de leurs actes et décisions, est le pouvoir sur l'autre. De fait, un Day qui se voit remettre, au cours d'une dispute au cours d'un Conseil d'administration de banque, en cause ce pouvoir par se pairs, retire ses billes pour détruire l'autre par le manque de ce qu'il possède et qu'il considère comme indispensable à la vie de la chose en question.

Ce pouvoir du manque, mes petits, c'est par là qu'on nous mène depuis le ventre de notre mère qui ne fait que ce que la société lui dit de faire et comment le faire, le sein qu'elle refuse de donner, les bon-soins de la petite enfance, l'indifférence sur les besoins d'amour qui s'expriment chez l'adolescent : c'est une excellente manière de reproduire le monde. Et on ne peut pas faire autrement, car on ne sait pas faire autrement ; et ne sait pas faire autrement car on ne peut penser autrement ; et on ne peut penser autrement, parce qu'on a égaré l'autre quelque part, ailleurs.

On appréhende les "mécanismes" du monde comme étant complexes : effectivement, c'est de l'ordre du complexe bio-affectif, c'est à dire de l'affectivité rendue malade par manque de bon-soins satisfaisants ! Découvrir le mécanisme de ce qui s'est passé dans un Conseil d'administration n'est pas très "complexe", sinon que d'être soi-même dans un état de complexité intellectuelle, c'est-à-dire, affective qui vous fait voir les choses énormément complexes, comme le simple fait de cesser de travailler !

Car même si je me trompe, je ne me trompe pas sur l'aspect malveillant de ces décisions et de ces actions, sur la nocivité réelle du travail et de son manque, sur moi, sur toi, sur nos relations sociales, sur ce qu'on nomme la nature qui n'est que (et c'est TOUT) la Vie.

 


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Écrit par : Nina_Tool | dimanche, 20 septembre 2009

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