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mardi, 29 septembre 2009

L'ombre des instants

La vous voile ombre le ralenti
une ligne après l'autre
plongée dans la grandeur de te contenir

Le sang est battu de nos débats

Une solution océanne du loin de l'autre
Pas si résolue
Regarde le convexe alternatif aux cambrures
Aux pudeurs immergées des deux sexes
Mouroir vivoir miroir mouvant du vivant.

Puis détumescence des sens et des forces
Arabesques endiablées, jadis, et
Finitudes d'entrelassement.

Résiste une marge d'histoire
Qu'une emprunte interne, une splendeur externe
Ayant acquis le fonds si
Fiduciaire des âmes et persistance du port
Alors que l'âme saute et devient cœur.

Pousse le remord d'un inacquit fors de son présent
Doré comme le Veau jadis
Au moment des perdus initiaux instants.

21:48 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : poésie

Commentaires

Doucement l’hécatombe
Dépèce les lignes deviennent courbes
Les tréfonds en lui déferlent

A bout de force
Besoin d’air, des distances
Ne plus perdent l’absolu
Pupille s’enflamme déglutit les sanglots
Et seulement la volupté soulage

De Sable mouvant

Souvenir des sens en mots leur passage
Déforme la chair respirante
Au fond du temps
J’aimerais répondre aux sables
Pour ne plus cracher dans le ciel

Entremêler les libertés en guise d’attraction.

Se lasser démange
Rimes à rien un peu leste
Surimpression de mouillages

Au sein duquel en Amazone

Déferle, re mes mords insoumis
Hors et pourtant jamais absents
Au moments des perdus initiaux instants.

Écrit par : S M | lundi, 05 octobre 2009

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