mercredi, 29 avril 2009
Fassaye l'oreille du vent
Les écartées lèvres de la dépliure
Hésitent à se résigner à n'être pas :
Elles rougissent à leur rêve
Qui s'acharne à la tessiture du silence
pour ne s'écouter pas.
Le geyser point ne s'étrangle
à son insuffisance :
il se confond à sa verticale,
à la résolution de ses facettes
comme solution à sa puissance
et s'apparie dans ses flaques toquantes
à son inter-sourire.
L'ivresse va souvent son cours
et se parachève, douceur ou saillie
où s'engouffrent les crins de l'existence.
Un visage se confond à l'horizon rafraîchissant,
pavage du zénith hurlant de chaleur,
plein du sens d'une ride aux cheveux blancs.
Au loin, le pavillon, au son d'un baiser
aussi sûr que le coin de tes lèvres,
Hésite à s'abjurer là où l'art de
l'*où* généreux se déshabite.
00:10 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : poésie
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