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mercredi, 14 mars 2007

Gaminerie

Dans tous ces films (tels qu’ils sont) on ne parle jamais d’excréments, je veux dire, bien sûr, de la contrainte du besoin de rejeter ses déchets.

Étrange. Car cela donne comme un effet bancal à l’ensemble d’une œuvre par le fait qu’il est difficile de la comprendre par ce seul manque, bien souvent, pratique.

Comme si cette contrainte, on ne peut plus naturelle, n’avait pas lieu d’être face à l’idée.

Un peu comme le problème de l’animal de « compagnie » et les crottoirs, heu... les chiures de chiens sur les trottoirs, ou les déchets nucléaires, par exemple : bien que réel, il n’y a pas lieu d’en faire mention, de l’évoquer, de l’exposer, d’en relater l’effectivité ; de la polution en général, en bref, générée par cet être qui ne veut à aucun moment, et surtout ceux où il relate sa vie et ses idées, des excréments pourtant absolument nécessaires à l’accomplissement normal de la vie.

Ça me rappelle cette sotte histoire de gamin où le trou du cul se mettant en grève fait mourrir le corps en l’empêchant de vivre, bien que chacun des autres organes qui le composent revendique fièrement le bon fonctionnement de son ensemble.

Punaise ! Qu’elle est idiote cette histoire de gamin !

C’est vrai que les gamins doivent encore se faire torcher le cul, à la différence des adultes.

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