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vendredi, 07 mars 2008

Les larmes des espoirs

Tant que le bonheur, la riance humaine dans le monde, restera liée à l'Économique, il n'atteindra pas son objectif : la riance humaine dans le monde.

Et comme ces satanés politiques sont liés plus que grossièrement à l'Économique, on ne peut attendre de ces gugus la possibilité, la mise en condition de l'obtention de ce bonheur (si tant est qu'il puisse être atteint : mais… comme simple opposé au malheur, ce sera déjà pas mal !).

Les politiques sont les larmes des espoirs. C'est à nous de nous prendre en main pour résoudre ce problème du malheur (comme opposé au bonheur, puisqu'on en parle) car ils n'en connaissent rien, ni du malheur, ni du bonheur qu'ils ne s'imaginent pas ailleurs que dans leur sphère du possible restreint par le commerce, le travail et l'Économique.

Dans un système social patriarcal, le sauveur est toujours le père : c'est lui qui est sensé procurer la nourriture, le confort, l'attribution des emplois du temps et la hiérarchie de ces attributions. Le "bonheur du père" n'a rien à voir avec celui de la femme, des enfants et de l'environnement. La collaboration, la coparticipation, le respect de l'autre (qui peut-être aussi le respect de soi : mensonge, calomnie, perversité des moyens) sont des ignorance de la politique comme du commerce : tous deux ont la même source : l'insatisfaction sans reconnaissance du possible et des dispositions à prendre de manière à la rendre peu admissible.

Pour maintenir son pouvoir sur les autres, le patriarcat corrompt tout : et principalement le bonheur (seulement considéré comme opposé au malheur). L'amour, le plaisir de l'ouvrage, l'immense ouverture de la connaissance sont pourris par l'Économique que la politique certifie de son baratin comme l'emballage la marchandise.

La politique c'est la publicité de l'Économique, qu'on se le dise !