Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

dimanche, 05 avril 2009

Le silence est un cri autre

D'une souche étincelle, cellule,
Le corps qui s'embrase en baisers
Déchire le ténèbre des chairs
De ses plaisantes bouillances

À consommer et à jeter,
ailleurs, on consume à tarir.
Nos ailes déchicaturent de nos strictes
La croisée des fantaisies désincarnées.

Que serait notre candeur
au temps du conditionnel ?
Même au présent, une page imperméable
à l'aune de l'encre du temps !

Repassons en nous nos songes
Où tout ce qui est se résorbe
Tel un coup simple d'éponge
que l'amour dans son tout absorbe.

Les commentaires sont fermés.