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jeudi, 27 mars 2008

Manquant d'ingrédient

Sans l'amour qui est le sel de la vie, l'existence devient fade et je perd le goût de vivre.

Cela me fatigue, cette perte du bon goût de l'existence. Cela me tarode. Mais ce monde est ainsi que je me retrouve avec plein de trous dans le cœur.

On dit que les cellules cardiaques qui meurent ne sont pas remplacées, mais que ce sont celles qui les entourent qui grossissent pour occuper leur place. Je me demande quelle en est l'ultime élasticité.

Quand cette absence devient une préoccupation, plus rien ne va pour trouver les facilités de la vie qutidienne qui devient pesante, pénible, lourde à supporter. Il y a comme un gourd cérébral dont on a peine à se secouer, une brume tenace, gluante comme un fog.

Et la solution n'est que dans le temps dont on ne connaît rien de l'exactitude !

Attendre, certes, mais quoi ? D'autres déchirements ? La fraîcheur et l'allant de la connaissance dont le présent est absent ?

Bien sûr que tout cela est de ma faute ou de mes erreurs, mais quelle est la mesure de cette souffrance quand l'ensemble des gens se satisfait de si peu pour bonheur ? Aïe yaïe yaïe !

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